Le réchauffement dans nos contrées n’est plus niable, car il y a des mesures de températures effectuées depuis plus d’un siècle, et factuellement la moyenne de température augmente à chaque décennies, quelle qu’en soit la cause.
Ce réchauffement est inégalement réparti entre régions du monde, mais il est important à proximité du pôle ce qui conduit au rétrécissement de la banquise (certes cela a existé à d’autres périodes de l’histoire, mais pas ces derniers siècles).
Il y a parallélisme entre l’accumulation de nos rejets de toutes sortes dans l’atmosphère et la hausse des températures, la modélisation en tant que cause peut être débattue, elle est en tout cas probable.
Comme ce sont les combustions qui sont sources des rejets à la fois des oxydes gazeux (CO2 et aussi SO2, NO2...) et des poussières (microparticules), alors réduire les combustions diminuera aussi les pollutions nocives pour la santé et la nature (acidification, etc).
Le tout électrique est une chimère, mais augmenter la part de l’électricité (à condition que ce ne soit pas des centrales à charbon ...qui se développent en Asie) permet de réduire la pollution.
Le ’’renouvelable’’ étant intermittent (vent, soleil)
), sa part dans le mix électrique ne peut être que partielle (l’idée de suréquiper pour faire de l’hydrogène en période de pointe qui servira à des centrales relai en période de creux est une ’’usine à gaz’’ ruineuse).
Donc, si on veut davantage d’électrique, il faudra davantage de nucléaire.
PS : j’ai une chaudière au fioul à condensation qui consomme raisonnablement et dégage peu de fumée, mais il n’y aura pas le droit de la remplacer quand elle sera HS.
J’ai aussi un gros poêle à bois (semi insert) dans la pièce principale, et une réserve de bois pour plusieurs années. C’est désormais considéré comme écolo car le bois comporte du CO2 réabsorbé ...par contre ça dégage considérablement plus de poussières que la chaudière, je le vois en ramonant !