@Fergus

Vous me servez le discours de la propagande. Les vaccins contre les maladies respiratoires n’ont pas, et ne peuvent avoir, « aucune efficacité », parce que, ce qui rend les gens malades, en automne hiver, c’est le niveau de pollution augmentée. Les gens sont victimes d’une « intoxication générale » qui survient lorsque les conditions atmosphériques favorisant la stagnation au sol de la pollution sont rassemblées. Tous les « vaccins » du monde n’ont aucune espèce d’utilité contre les matières particulaires polluantes. Ceci explique parfaitement bien l’inutilité des vaccins et le manque de preuve de leur efficacité. Une injection d’eau tiède aurait le même effet. 

Depuis quelques années, des scientifiques, dans de très nombreux pays du monde, montrent et démontrent, que les maladies respiratoires en automne-hiver se déclenchent brusquement lorsque les taux de pollution atmosphérique augmentent et régressent lorsque cette pollution prend fin. 

Ainsi les malades ne communiquent pas leur maladie respiratoire. En réalité les gens « baignent tous » et « respirent tous » au même moment une atmosphère particulièrement polluée. Les régions sujettes à des taux de pollution supérieures à ceux d’autres régions présentent une plus grande mortalité. 

https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/

Vous devriez informer votre belle fille et ses collègues de l’Institut Pasteur que d’autres scientifiques ont déterminé une corrélation « parfaite » entre pics épidémiques de maladies respiratoires et pics de pollution. Je pense que votre belle-fille et ses collègues de l’Institut Pasteur passent à côté du sujet. Mais c’est vrai aussi, qu’il faut que la propagande vive pour que les profits puissent avoir lieu.
Je vous parle santé Fergus. Chacun est libre, ensuite, de nier la réalité. Ce que j’écris, Fergus, vous pouvez vous même le vérifier sans faire appel à votre belle-fille. Parce que, lorsque l’on sait que c’est la pollution atmosphérique qui nous rend malade en automne-hiver, alors il est possible de mieux s’armer pour lutter contre ses méfaits. Mais la propagande nous dirige vers les vaccins, tout à fait inutiles. Celui qui est intéressé par sa santé, aurait intérêt à surveiller les taux de pollution en automne-hiver. Moi, j’informe, rien d’autre. 

... «  Les épidémiologistes s’accordent largement à dire qu’il existe une corrélation entre les concentrations aiguës et localement élevées de particules fines et la gravité des vagues de grippe. L’équipe de recherche helvétique montre que les concentrations aiguës de particules fines, particulièrement celles plus petites que 2,5 micromètres, entraînent une inflammation des voies respiratoires, pulmonaires et cardiovasculaires, et épaississent le sang. Les résultats de cette étude offrent la possibilité de prendre des mesures préventives en cas d’augmentation future des concentrations de particules fines. Nous pourrions ainsi agir pour tenter de limiter une nouvelle flambée de morbidité et de mortalité. »...