@Fanny
Poutine ? C’est le retour de Staline en pire dans notre imaginaire politique et médiatique.
Oui enfin notre pouvoir autoproclamé démocratique tend à nous le faire croire avec les médias qui suivent la voix de son maître alors que la comparaison est complètement idiote.
La Russie redevient notre ennemie, bien pire que l’URSS.
Enfin, la Russie a toujours été l’ennemi des anglo-saxons, comme dans les anglo-saxons il y a les USA il n’y a que les doux rêveurs qui pensaient que l’animosité britannique historique voulant la destruction de la Russie lui était passée. Il ne faut pas oublier que depuis 1991 et la chute du bloc soviétique, les britanniques, canadiens et américains ont continué à tout faire pour déstabiliser les pays à proximité de la Russie. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les anglo-saxons ont préservé les nazis croates, ukrainiens, ... pour leur caractéristique d’anti bolchévique ; ils ont cherché à déstabiliser les satellites russes de l’URSS mais ils n’ont pas arrêté pour autant lorsque le mur est tombé. Ils avaient investi des fortunes pour maintenir cette diaspora nazie dans leurs pays, la plupart au Canada.
En 1991, avec des financements américains, britanniques et canadiens, cette diaspora élevée au biberon du nazisme sont revenus dans leur pays d’origine et ont continué à pousser dans le sens de l’éloignement avec la Russie ; l’OUN et l’UPA sont des exemples à suivre aujourd’hui pour la partie occidentale de l’Ukraine, ce n’est pas récent, cela date déjà de 1991 quand ils ont commencé à déboulonner les statut des héros bolchéviques et des victimes juives des stèles pour les remplacer par les nazis ukrainiens de la seconde guerre mondiale ... avec l’assentiment et les encouragement des USA, du Canada et des britanniques. D’ailleurs la vice première ministre canadienne est elle-même la petite fille d’un nazi qui a soutenu le IIIème Reich mais qui a inventé une histoire pour exonérer son grand père du soutien indéfectible envers le Reich.
Sans doute une part de comédie dans tout ça, un moyen facile pour le pouvoir de rameuter nos concitoyens autour du projet européen qui suscite peu d’enthousiasme, cela bien avant la guerre en Ukraine. Mais surtout, je crois, une Europe se mettant en configuration offensive, idéologique et militaire (l’OTAN), bien décidée à s’étendre aux dépens de la zone d’influence russe.
L’OTAN est au service des intérêts américains, donc antirusse par nature. L’OTAN n’a pas d’autre objectif que lutter contre l’influence russe, elle a été créée pour cela et n’a pas changé d’objectif.