On approche du terme d’un long processus qui a consisté par idéologie à vouloir tout privatiser (prétendument bien sûr) pour le bien commun.
La création monétaire pour éviter que les Etats ayant la planche à billets ne s’endettent (on voit le résultat et les fanatisés de nous dire que cela aura été pire sinon (sans avoir d’intérêts à payer ?...), la recherche médicale dans notre exemple, ce qui fait que l’expertise devient un cas d’école de conflit d’intérêts permanent puisque ceux l’ayant ont dû travailler pour les firmes privées et sont appelés à y travailler à l’avenir, sauf si bien sûr ils ont une déontologie scientifique, auquel cas ils sont consommables par le système.
Les Etats laissant les agences de régulation et de contrôle se faire infiltrer et financer massivement par le privé mettant ainsi en place les outils pour fabriquer de pseudo consensus à la chaîne fondés sur des bases à l’examen très fragiles.
Il faut ajouter les médias de masse qui ne peuvent que profiter à diffuser la propagande financée par les Etats comme les laboratoires (directement ou via fonds de pension détenant des actions de ces entreprises par ex).
Du coup, scientifiques condamnés à se taire s’ils veulent avoir un avenir, organes professionnels et de régulation aux ordres, médias comme caisse de résonance de la désinformation, face à un évènement inédit (Covid-19 par ex) on nous fabrique un consensus au milieu d’inconnues majeures en le présentant comme des vérités absolues (le « vaccin » est efficace et sans danger, protège de la contamination et diffusion, etc) le tout sans aucune preuve indiscutable, les demander relevant de l’obscurantisme et de la délinquance.
On sait maintenant que le masque avait une grande efficacité contre la police et aucune contre le virus (efficacité indiscernable disent les meilleures études par tirages au sort et grandes cohortes) mais la répression a marché sur des bases totalitaires.
On s’est torché avec le « Code de Nuremberg » face à une épidémie pour laquelle 75% de la population ne risquait rien que le vaccin ne puisse améliorer.
De la même façon qu’on a donné le feu nucléaire à des crétins qui n’avaient aucun talent pour faire de la physique et une éthique épouvantable, on a donné à des bureaucrates et des fonctionnaires, le pouvoir de nous traiter comme du bétail.
Il est douteux qu’on puisse aller loin sur cette trajectoire.