@jjwaDal
La vaccination est un mythe.
Virus mania
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L’intoxication vaccinale :
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Si certaines personnes tombent malades en automne-hiver, c’est que certaines conditions atmosphériques sont rassemblées. Les épidémies de maladies cardio-respiratoires « surgissent » lorsque les taux de pollution sont augmentés dans l’environnement immédiat de l’Homme. Ceci n’est même plus à démontrer. Il existe une « corrélation parfaite » entre « pics de pollution » et « pics de maladies cardio-respiratoires ».
Il suffit de consulter un site comme « ventusky.com » pour visualiser les niveaux de pollution à n’importe quel endroit de la planète, AQI, indice de la qualité de l’air compris.
Le phénomène « d’inversion thermique », en automne-hiver, en présence d’un anticyclone, par absence de vent et de pluie, fait augmenter la pollution au dessus du sol à des niveaux dangereux. Les être humains au système immunitaire affaibli ont bien des difficultés à « gérer » ces agressions polluantes intempestives. Les maladies cardio-respiratoires se déclenchent « brusquement » et disparaissent aussi « brusquement ». Ces maladies cardio-respiratoires relèvent d’une « intoxication générale » des populations.
Les « fameuses comorbidités » signalent simplement que le système immunitaire humain vacille. Sans un système immunitaire efficace, il est très difficile de vaincre les agressions des matières particulaires polluantes que nous respirons à plein poumons.
Le système immunitaire peut être renforcé à l’aide « d’anti-oxydants ». Toutes les molécules qui participent à la lutte anti-oxydante de l’organisme sont les bienvenues.
La « vaccination » n’est d’aucune aide pour lutter contre les effets de la pollution. C’est pour cette raison qu’elle est parfaitement inefficace. Les virus ne sont que des artefacts. Les « souches », les « mutations », la « contagion », la « contamination » sont des leurres. Ce sont bien les niveaux de pollution augmentés lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées qui « intoxiquent » les êtres humains qui respirent tous ce même air pollué au même moment.
... « La dispersion naturelle des polluants dans l’air est ascendante car la température de l’air a tendance à décroître avec l’altitude et l’air chaud a tendance à monter (donc à se disperser à la verticale). Pourtant, il arrive que certaines conditions météorologiques perturbent cet équilibre naturel de la dispersion des polluants et contribuent à une certaine altitude à l’apparition du phénomène d’inversion thermique stoppant net la dispersion des polluants. »...
... « Les épisodes de pollution ont plus de chances de survenir dans des conditions d’inversion de température. Pendant les périodes prolongées de hautes pressions durant les mois d’hiver, le rayonnement solaire atteint le sol et le réchauffe. La nuit, l’absence de couverture nuageuse entraîne un refroidissement rapide du sol et l’air en contact avec le sol devient plus froid. L’air plus chaud s’élève et agit comme un couvercle, enfermant l’air plus froid dans les couches inférieures de l’atmosphère. La pollution, notamment celle provoquée par le trafic routier, est également piégée et la couche d’air la plus proche du sol devient donc de plus en plus polluée. Ce phénomène se poursuit jusqu’à ce que les conditions météorologiques changent. »...
Il suffit « simplement » d’ouvrir les yeux sur les niveaux de pollution atmosphérique pour se rendre compte de la corrélation parfaite entre « pics de pollution » en automne-hiver et « pics épidémiques de maladies cardio-respiratoires ». Certaines régions paient un plus lourd tribu à cette pollution parce que la pollution atmosphérique y est plus intense. Ceci est parfaitement bien mis en exergue par le nombre de morts bien plus important dans les régions polluées que dans celles qui le sont moins. Par ailleurs, la « répartition » de certaines maladies, comme « l’obésité », dans certaines régions, vient augmenter ce nombre de morts.
... « La prévalence de l’obésité en 2020 dépasse 20 % dans le Nord et le Nord-Est de la France, et elle est la plus basse (moins de 14,5 %) en Île-de-France et dans les Pays de la Loire. Si l’on ne tient pas compte de ces deux dernières régions et de la Bretagne, on observe une baisse du gradient des prévalences quand on passe des régions Nord aux régions Sud de la France. »...
... « En 2020, l’épidémie de Covid-19 a entraîné deux vagues de surmortalité en France : l’une au printemps, l’autre à l’automne.
Mi-mars, un excès de mortalité (cf. encadré L’excès de mortalité) est enregistré dans la région Grand Est, puis dans les Hauts-de-France et en Île-de-France. Fin avril, la vague de surmortalité couvre l’ensemble du nord-est de la France et s’étend moins intensément vers le sud jusqu’à la région Auvergne-Rhône-Alpes. À l’inverse, la Bretagne et le grand quart sud-ouest de la France enregistrent une mortalité en deçà de celle observée les années précédentes. »
https://presse.inserm.fr/obesite-et-surpoids-pres-dun-francais-sur-deux-concerne-etat-des-lieux-prevention-et-solutions-therapeutiques/66542/
https://www.institutparisregion.fr/societe-et-habitat/les-franciliens/covid-19-et-mortalite-les-franciliens-fortement-affectes-mais-de-facon-inegale/
Il suffit de faire quelques mises en perspective pour comprendre la supercherie vaccinale.