@Eric F
Je suis d’accord, le journal donnait le lien vers l’étude. Alors pourquoi ne pas citer l’étude plutôt que d’infliger au lecteur une relation approximative de celle ci dans un journal ?
Le génotype du virus est une mascarade. Il est « déduit » et « imaginé » par les chercheurs grâce à des appareils électroniques sophistiqués. 

Vous défendez effectivement cette mauvaise recherche qui ne prête pas garde aux biais méthodologiques. Et je suis d’accord encore, en 2020 je ne m’étais pas intéressé aux virus. Mais en y jetant un regarde attentif, toute la supercherie se dévoile. Nous vivons dans un monde de mensonge dans lequel il suffit de répéter en boucle une ineptie pour qu’elle devienne « vraie ». C’est à un lavage de cerveau auquel on assiste et pas à de la communication scientifique. 2020 a été une année charnière du point de vue de la manipulation des esprits. L’affaire du covid19 a été montée si vite et d’une manière si brouillonne que le dessous des cartes étaient visibles. 
Vous souvenez-vous de la grippe H1N1 ? Un gros rapport du Sénat, parfaitement consultable, évoque cette escroquerie et « comment » elle a pu avoir lieu. Il n’y avait nulle « pandémie », il n’y avait aucun « danger » particulier. Ce rapport du 29 juillet 2010 de la Commission d’enquête du Sénat, tout à fait « officiel »par conséquent, lève le voile sur d’immenses conflits d’intérêt et sur la manipulation des esprits lors de cette mascarade de grippe H1N1. Il en a été de même avec l’épisode covid19. 

https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

Tant que « l’on » continuera à réciter une leçon « bien apprise » sans examiner vraiment « pourquoi » l’organisme développe des pathologies, nous resterons prisonniers du monde de « big Pharma ». Les scientifiques connaissent parfaitement bien le rôle des récepteurs Ahr (récepteurs aryl hydrocarbone) qui sont fortement activés par les hydrocarbures polycycliques. Les scientifiques connaissent parfaitement bien le rôle de l’ACE2. L’ACE2 est exprimée dans différents types de cellules humaines, parmi lesquelles les cellules des voies respiratoires, les entérocytes, les macrophages, les cellules endothéliales, etc.

... « Dans cette revue, compte tenu de la grande quantité de données soulignant le rôle du récepteur d’hydrocarbure arylique (AhR) dans la réponse inflammatoire et dans la modulation de l’immunité innée et adaptative, nous décrivons certains mécanismes qui entraînent fortement son implication dans la gestion du cadre inflammatoire du COVID -19. Il régule à la fois l’expression de l’enzyme de conversion de l’angiotensine-2 (ACE-2) et de son partenaire stabilisateur, le Broad neutral Amino acid Transporter 1 (B 0 À 1 ). »...

Les liens entre pollution atmosphérique, hydrocarbures polycycliques aromatisés, récepteurs Ahr et ACE2 sont parfaitement connus. En présence d’une pollution atmosphérique augmentée, les récepteurs Ahr et ACE2 sont fortement sollicités, puisque ce sont eux qui sont supposés intervenir pour « capter » les matières particulaires de la pollution, organiser la défense immunitaire et épurer l’organisme de ces agents pathogènes. En faisant entrer les « virus » dans la boucle « on » passe à côté du véritable sujet, celui de la pollution atmosphérique et de ses dégâts dans les organismes affaiblis.