On sait maintenant que l’essentiel de l’« information » sur ce qui s’est passé le 7 octobre a été passé au filtre de la propagande sioniste et occidentale (nos prétendus grands médias). Les 40 bébés décapités n’ont jamais existé (un clin d’oeil aux couveuses du Koweit), le chiffre des morts sur le territoire occupé par les sionistes incluait largement des membres du Hamas tués par Tsahal (rien ne ressemble plus à un corps incinéré de juif occupant qu’un corps incinéré de palestinien, pardi...), que les victimes étaient largement militaires, qu’un bon nombre de victimes sont dûes à l’application massive de la doctrine « Hannibal » donc victimes juives tuées par « IDF », etc...
Malgré la chape de plomb qui est tombé sur le territoire sioniste, les langues se délient et il est clair que l’opération génocidaire sur Gaza ne vise nullement à libérer les otages capturés comme monnaie d’échange par le Hamas (le probable motif de l’opération).
L’armée sioniste a déjà éliminé 50 journalistes et interdit toute couverture de presse qui ne serait pas sous son contrôle et porter un brassard de journaliste quand ils opèrent équivaut à se changer en cible.
Non seulement l’entité sioniste veut être l’unique source d’information sur ce qui se passe en territoire occupé mais surtout à Gaza, on les comprend, mais ils sont en bonne voie pour assimiler toute critique politique comme de l’antisémitisme et l’Occident les suit sur cette pente glissante, extrêmement dangereuse.
L’entité qu’ils appellent « Israël » est probablement aujourd’hui ce qui se rapproche le plus de l’Allemagne nazie, vu le soutien massif de la population en faveur d’une opération génocidaire (après avoir avalisé l’épuration ethnique et le régime d’apartheid) et nos dirigeants ressemblent à un hérisson hébété faisant la boule devant la lumière des phares qui se rapproche à grande vitesse. Quand plus personne ne pourra nier le génocide perpétré, quel autre recours auront-ils en dehors d’un contrôle féroce de la liberté d’expression pour « débrancher » ceux voulant les mettre devant leur responsabilité dans la non assistance à peuple en danger ?
C’est à craindre, car malgré la couverture (dissimulation) des grands médias, pas mal de monde commence à comprendre les enjeux de ce conflit.