Pour parler sérieusement de ce sujet et critiquer l’instrumentalisation de l’antisémitisme pour empêcher toute critique de la politique israélienne et toute défense des Palestiniens dans les universités américaines :
Peter Beinart & Omer Bartov on UPenn President Resignation, Gaza & the Weaponization of Antisemitism
(Peter Beinart et Omer Bartov au sujet de la démission du président de l’UPenn, de Gaza et du prétexte de l’antisémitisme comme arme, au micro d’Amy Goodman :)
https://youtu.be/0xtP7CVSJGY
Beinart et Bartov (juifs tous les deux) ont un point de vue diamétralement opposé à celui de l’auteur de cet article et présentent Élise Stefanik sous un jour nettement moins favorable, comme une suprémaciste blanche partisane d’un nettoyage ethnique anti-arabe en Palestine.
Ils parlent également de l’interprétation erronnée et fallacieuse que Stefanik fait du terme « intifada » qui ne veut rien dire d’autre que « soulèvement ».
On a donc bien affaire avec cet article à un cas typique d’inversion accusatoire dans lequel les partisans du génocide bien réel qui a lieu actuellement à Gaza poussent des cris d’orfraies, hurlent à l’antisémitisme et pratiquent une forme de chasse aux sorcières pour faire taire toute critique et détourner l’attention des atrocités commises par Israël.