Il faut toujours revenir à la cause
première du chaos qui se dessine devant nous, conséquence de l’immigration du
Sud et de l’incompatibilité culturelle laquelle nous conduira inexorablement à
l’affrontement et la guerre ethnoreligieuse.
Il faut donc répéter indéfiniment que la
soumission (voire la destruction) des États-nations a été programmée sciemment
depuis la Deuxième Guerre mondiale par l’oligarchie financière internationale,
c’est–à-dire le capitalisme bancaire qui n’a jamais eu pour objectif de
produire quoi que ce soit pour le bien des humains, mais de prospérer par
l’usure, la spéculation boursière, le contrôle des monnaies et des rouages du
commerce international. Le capital fabrique ainsi du capital… accroît
indéfiniment sa puissance et impose aujourd’hui sa loi aux États-nations.
Il faut donc répéter que le monde est aujourd’hui aux mains des banques
d’affaires internationales, elles-mêmes contrôlées par une minorité ethnique
d’ultras riches qu’il est impossible de désigner. Le proverbe dit : "pour
savoir qui détient le pouvoir, cherchez qui vous ne pouvez pas critiquer".
Ils ne sont ni Français, Allemand, Polonais ou Italien. Ils sont apatrides et
ne connaissent que la solidarité indéfectible à la communauté ! Les populations
ne sont que des variables d’ajustement pour accroître leur puissance. C’est
Wall Street et la City qui décident de la géopolitique mondiale, de
l’assassinat de centaines de milliers d’innocents au Moyen-Orient… comme en
Ukraine, tout cela, bien sûr, en affirmant cyniquement défendre la démocratie
et les droits de l’Homme. Un exemple d’anthologie restera la destruction de
l’Irak dirigée par Saddam Hussein au prétexte fallacieux que le « dictateur fou possédait des
»armes de destruction massive".. et personne n’oubliera la
démonstration au Conseil de sécurité par Collins Powell agitant sa pseudo fiole
d’anthrax.