Mais oui, Jésus est réellement Dieu, et plus précisément la miséricorde de Dieu mais des fois le Père transpire à travers Lui.
Voilà que finalement le mystère s’explique. Au fond, hors de la porte, à moitié caché derrière un groupe de gens du peuple de grande taille, se montre Doras. Encore plus sec, jaune, ridé, tout nez et menton. Il a avec lui un serviteur qui l’aide à se déplacer car il paraît à moitié accidenté. Et qui donc l’avait aperçu, là au milieu de la cour ? Il ose parler de sa voix éraillée :
« C’est à moi que tu parles ? C’est pour moi ce que tu dis ? »
« Pour toi, oui. Sors de ma maison.
»Je sors. Mais bientôt nous ferons les comptes, n’en doute pas.«
»Bientôt ? Tout de suite. Le Dieu du Sinaï, je te l’ai dit, t’attend.«
»Toi aussi, malfaisant, qui as fait arriver sur moi le malheur et les animaux nuisibles de la terre. Nous nous reverrons. Et ce sera ma joie.«
»Oui. Et tu ne voudras pas me revoir car Moi, je te jugerai.«
»Ah ! Ah ! maléd...« Il s’embrouille, murmure et tombe.
»Il est mort ! crie le serviteur. Le maître est mort ! Béni sois-tu, Messie, notre vengeur !«
»Non, pas Moi. Dieu, le Seigneur Éternel. Que personne ne se souille. Que le serviteur seul s’occupe de son maître. Et sois bon pour son corps. Soyez bons, vous tous, ses serviteurs. Ne vous réjouissez pas, par rancœur de sa mort, pour ne pas mériter une condamnation. Que Dieu et le juste Jonas soient toujours pour vous des amis et Moi avec eux. Adieu."
https://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2002/02-093.htm
Quoi ? Vous êtes peinard et là pof une araignée passe devant vous et avant de comprendre vous l’avez déjà écrasé par réflexe. Avouez que ça vous arrive aussi non ?
... :)