@rosemar
C’est certain : il y a du « sucre » partout. Mais il faudrait parler des glucides, pas du sucre.
Or, c’est bien l’idée que l’on transmet tous les jours. Et vous même, ici, dans votre réponse d’une seule ligne vous parvenez à « incriminer » les aliments transformés.
Les glucides se transforme en « glucose » dans l’organisme. Les glucides ce sont ces petits pains frais « bio » du petit déjeuner, les glucides se sont les dattes medjool, les glucides c’est ce bon gratin de pommes de terre, les glucides c’est le jus d’orange plein de vitamine « C », les glucides se sont ses raisins si goûteux, les glucides c’est aussi ce miel venu d’un petit producteur, etc. Il faudrait, quand même, réfléchir au fait que les « glucides » ne sont pas seulement présents dans l’alimentation « transformée ». Les gens consomment des « glucides » à longueur de journée parce que les « recommandations officielles » demandent d’obtenir 40-60% de notre énergie depuis ces « glucides ». La pandémie d’obésité et de surpoids qui s’est développée dans le monde entier est le signe que notre alimentation est mal calibrée et mal pensée.
Vous écrivez, copié-collé : « Tout au long du 20ème siècle, le sucre s’installe durablement dans nos assiettes, il est partout, dans les plats préparés, les sodas, les féculents que nous consommons désormais en excès : s’installe alors le diabète de type 2. »
Mais vous passez sous silence l’omniprésence du « sucre » dans les farines de céréales, même complètes, même biologiques, dans les fruits (sélectionnés d’ailleurs pour leur haute teneur en sucre), dans les féculents, dans le riz, dans les pommes de terre. Bref, l’accès « facile » à la nourriture, sans jamais avoir de « répi », dirige nos sociétés vers l’obésité et toutes les maladies métaboliques « dont » le diabète, qui n’est d’ailleurs qu’une maladie par « convention ».
En effet, le diabète n’est pas une « vraie maladie ». Vous êtes « déclaré » diabétique si votre taux de glucose sanguin dépasse, à deux reprises à jeun, 1,26g/L. Il se trouve que ce fort taux de glucose sanguin est à l’origine de réactions chimiques délétères dans l’organisme humain.
Il n’existe à ce jour aucune volonté nationale d’informer les gens de ce qui est mauvais pour leur santé. Le « coût » exorbitant du diabète tout le monde s’en moque. Tant que la « metformine » est à disposition, on peut se gaver de glucides.