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Commentaire de Christophe

sur Affaire Depardieu : un président insultant, un acteur libidineux


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Christophe 3 janvier 13:44

@Aristide
Je suis en accord avec votre approche et j’ai parfois du mal à comprendre (du moins à admettre) cette chasse aux sorcières et cela en tout domaine aujourd’hui allant à l’encontre total de la liberté d’expression.

Je ne cautionne pas ce que dit Depardieu, en fait je m’en contre fiche, mais il a le droit comme toute personne à sa liberté d’expression, que ce qu’il exprime nous plaise ou non, et il convient à chacun de nous de savoir si on apprécie ou pas cette personne, ce qui ne nous donne pas l’autorité pour condamner ou pas, ce que chacun en pense le concerne et ne concerne pas les autres ... même approche que pour ce très bon acteur qui a maintenu son approche des femmes qu’il a connu à ses débuts.

Il ne faut pas non plus oublié l’histoire récente ou la liberté de la femme c’est construite parfois sur une perception peu valorisante de la femme puisque l’un des premiers principe de la liberté de la femme était une liberté sexuelle. De fait pour les personnages très influents et disposant d’un certain pouvoir, cette liberté c’est déployé sans contraintes ni limites.

Je rejoins Fergus sur le fait que les temps ont changé, sans aucun doute, mais des personnages comme Depardieu qui ont un certain âge (plus avancé que le mien) ne perçoivent pas comme nous les changements de sociétés.

Cela n’excuse en rien ses propos graveleux, il en a toujours eu, comme des conquêtes féminines faciles qui se sont offertes ou qu’il a poussé. Le pouvoir de projeter ses conquêtes dans le monde du spectacle comme d’obtenir différentes faveurs n’est pas toujours anodin dans les comportements de certaines qui ont parfois usé de leurs charmes pour obtenir un tremplin vers une notoriété rêvée.

Dans ce type de comportement il n’y a pas une seule et unique vision des choses, comme dans toute situation il n’existe ni noir ni blanc, il y a des foultitudes de gris. Et cela ne permet pas toujours de bien trier en le bon grain et l’ivraie. 


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