@troletbuse
Je subodore que le Gaby n’a même pas la moindre idée de la vie dans les campagnes, s’il a croisé un jour le c.l d’une vache, ce ne devait pas être celui d’une charolaise !
Se rend-t-il compte à quel point notre paysannerie en France dépérit, se meurt, sous les coups de butoir de l’U€, de traités de libre échange qui font venir du lait de l’autre bout du monde !, du syndicat la FNSEA inféodé à l’industrie agro- alimentaire, des délires escrolos, de l’augmentation des charges, des taxes sur le gasoil (non-routier) qui ne cessent d’augmenter,...
#Attal se rendra-t-il au Salon de l’agriculture (24 février au 3 mars 2024) faire la tournée parisienne des terroirs  ?

Cet éleveur patriote fier de sa profession propose ni plus ni moins que le boycott de ce Salon si ça peut faire bouger les lignes...

Agriculture  : « C’est tout le système qu’il faut changer. Les politiques veulent nous tuer » Sébastien Béraud, agriculteur
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/agriculture-c-est-tout-le-systeme-qu-il-faut-changer-les-politiques-veulent

C’est la pompe à phynances du Père Ubu ! magnifique coup du maître de Bercy en période d’inflation galopante !
Fin de la défiscalisation du GNR : un coup de massue pour les agriculteurs

Le ministre de l’Économie annonce la fin des avantages fiscaux sur les carburants, dont le gaz non routier (GNR) d’ici 2030. Objectif : permettre de faire « au moins 10 milliards d’économies » sur plusieurs secteurs afin d’assainir les finances publiques. La fin des tarifs réduits des carburants professionnels rejoint ainsi une cohorte de coupes budgétaires dans les domaines de la santé et du logement.

Pour rappel, le GNR s’apparente au fioul domestique avec moins de soufre (donc avec une combustion moins polluante) et est parfaitement similaire au gasoil routier non soumis à l’avantage fiscal.
Cet avantage fiscal permet aujourd’hui aux agriculteurs de ne payer une taxe sur le carburant que de 0,1882 €/L, à condition qu’ils fassent la demande de remboursement partiel de la TIC/TICGN. En l’absence de ce remboursement partiel, les agriculteurs devront payer 0,594 €/L de taxe (hors majoration régionale), soit au total 2,04 €/L TTC, plus cher que le gasoil routier.

Il est évident que les agriculteurs ne vont plus s’approvisionner en GNR et vont se tourner vers le gasoil routier, générant une charge supplémentaire sans pour autant espérer une hausse des prix de vente de leur production.

https://www.coordinationrurale.fr/lactualite/economie/fin-de-la-defiscalisation-du-gnr-un-coup-de-massue-pour-les-agriculteurs/