@ZenZoe
Je ne pense pas encombrer cet article, j’essaie juste de positionner le besoin de l’auteur, qui si j’ai bien compris se situe au niveau légal et aux moyens mis en pratique pour y répondre.
Je pars donc du niveau légal et comme je suis favorable à l’égalité devant la loi je pencherais plutôt pour une législation couvrant le domaine familiale plutôt que la violence faite aux femmes exclusivement, ce qui permettrait de couvrir le besoin de protection des femmes, des hommes et des enfants qui subissent des violences familiales. Ensuite il faudrait penser aux mesures à mettre en place en fonction de différentes conditions couvrant le besoin irrépressible d’éclatement de ce cercle familial.
J’ai arrêté mes engagement dans le monde associatif entre 55 et 57 ans et j’y suis revenu depuis. J’y suis engagé depuis l’âge de 16 ans et c’est un monde que je connais bien pour avoir assumé durant des décennies des fonctions de président. La plupart de ces associations où j’ai été étaient d’intérêt public. Mais je trouve assez anormal que des sujets aussi graves soient portés par le monde associatif, il revient à nos politiques de s’interroger sur les conditions du vivre ensemble car s’ils n’ont plus se champs d’investigation, que leur reste-t-il ?
D’ailleurs ce sont eux qui devraient prendre du recul et travailler de façon plus générique plutôt que de céder à ceux ou celles qui l’ouvrent le plus, cette minorité agissante qui ne représente qu’elle-même.