@Eric F
J’en suis à 10 commentaires postés en 5 jours, et vous à 52. J’inonde pas non plus l’Agora.
Il se trouve que ce matin j’ai ouvert Agoravox et j’ai parcouru les « derniers commentaires ». Il y avait le vôtre. J’y ai répondu. Par ailleurs, il s’agissait d’un domaine qui m’est cher tellement cette affaire « d’efficacité vaccinale » n’a aucun sens, sauf pour l’industrie du vaccin. Parce que, en fait, il n’existe aucune preuve de l’efficacité vaccinale, en général.
Cette réponse de « nozotorités » qui concèdent que l’efficacité vaccinale n’est pas « spectaculaire » masque la réalité : les vaccins, tous, n’ont aucune efficacité. Et pour cause, ils luttent contre des artefacts. Cette réponse de « nozotorités » donne quand même une certaine résonance au principe vaccinal. C’est toujours ça de pris.
Nous devrions parler, plutôt, de lutte contre les matières particulaires de la pollution atmosphérique et imaginer comment protéger les personnes les plus sensibles des méfaits de celle-ci.
https://www.letemps.ch/sciences/faut-se-mefier-pics-pollution-meme-lair-globalement-pur
... Pour chaque ville, l’équipe de scientifiques a comparé les variations de concentration des particules fines dans l’air avec la survenue de décès. Il ressort de leur analyse que, en moyenne, un accroissement de la concentration de PM10 dans l’air de 10 μg/m sur deux jours est associé à une augmentation de tous les types de mortalité de près de 0,5% (0,44%). L’effet est encore plus marqué pour les PM2,5 : une progression de leur concentration de 10 μg dans l’air entraîne une mortalité quotidienne accrue de 0,68%...
Par conséquent, Eric F, lorsque surgit un pic de pollution durant plusieurs jours, lors d’une inversion thermique, peut-on imaginer que la mortalité va aussi augmenter en rapport du taux de pollution ? Va t-il y avoir un pic de mortalité dû à cette pollution ? Mais quel suspens ! Mais pas du tout, je plaisante : ce sont les « virus » qui provoquent cette surmortalité" !