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Commentaire de Hervé Hum

sur Préparons-nous à la guerre


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Hervé Hum Hervé Hum 19 janvier 2024 13:19

@Eric F

En paraphrasant Coluche, le centre, je sais ce que c’est , mais l’extrême centre, là, je m’interroge ? le trou du cul peut être ?

Pour ma part, je me fous de la droite, gauche, extrême droite ou gauche, etc, il y a seulement des espèces d’humains du fait que l’humain se situe à une échelle supérieure que celle des autres espèces animales connues. Mais comme un principe est invariant fondamentalement quelle que soit l’échelle, cela veut dire qu’on retrouve bien les mêmes rapports que dans le monde animal, mais avec une forme différente et ce, en raison des capacités cognitives humaines supérieures (sans considération d’une échelle supérieur à celle de l’humain !)

De fait, on retrouve bien la nature prédatrice et qui est le capitaliste prédateur du temps de vie d’autrui, face au salarié qui est l’égal de l’herbivore, donc, qui se nourrit de son propre travail comme l’herbivore se nourrit de l’herbe qu’il broute et à coté, il y a les charognes et les parasites.

Bref, l’humanité ne se divise plus en peuples se faisant la guerre, mais en espèces, sauf que pour l’instant, seuls les prédateurs en ont pleinement conscience, les autres, ben, continuent à brouter l’herbe et ne comprennent pas ce qu’il se passe, bien qu’ils soient fondamentalement la cible ou proie des prédateurs, tous convenant que chacun doit s’occuper de son cheptel en se faisant passer pour le berger qui décide qui il mange, quand et comment !

Dans la nature animale, les prédateurs ne peuvent pas s’attaquer à des proies qui sont solidaires, seulement après avoir les avoir isolé du groupe, donc, de les maintenir divisé entre eux qui à l’échelle humaine se fait via le nationalisme qui de tout temps est le seul moyens pour le prédateur humain de contrôler les herbivores.

tant que cela n’entrera pas dans la tête des citoyens ben, comme le dit Warren, c’est le prédateur qui gagne la partie. Vous voulez une preuve ? Regardez donc comment les prolétaires européens s’associaient avant la 1ère guerre mondiale pour obtenir des droits et comment du jour au lendemain ils se sont mis à s’entretuer au nom de la formule magique « la patrie en danger » pour le plus grand bonheur des prédateurs humains ou bourgeoisie.

Autrement dit, bis répétita !


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