@Iris
Non ! Je voulais parler de la redistribution d’une partie des bénéfices aux
salariés sous forme de primes d’intéressement ! Un système dont nous sommes quelques-uns et quelques-unes à avoir bénéficié avec bonheur dans les années soixante gaullistes.
Ce système n’a malheureusement pas fonctionné longtemps, l’avant-garde de l’actuel mondialisme ayant, par intérêt évident, sabré de Gaulle qui en était à l’origine.
Cette avant-garde avaient été aidée en cela par un P.C.F. « intellectuellement
éclairé » qui s’imaginait encore que l’espoir du « Grand-Soir »
valait bien que l’on sacrifiât tout le reste, y compris une ou deux
générations, comme ce parti l’avouait alors lui-même !
Nous avons donc tout perdu, plus les bienfaits d’une certaine connivence
inavouée du général avec les communistes sur le point précis du progrès social
!
J’étais, par contre, beaucoup plus réservé sur le projet de participation
des salariés au capital auquel vous faites allusion. Néanmoins, une telle
solution aurait sans doute été possible et aurait peut-être pu s’intégrer
positivement dans un capitalisme régulé et social auquel je continue de croire.
Dans tous les cas, cela aurait représenté une appréciable solution d’attente, de
préparation et de transition raisonnée entre la chienlit catastrophique actuelle et
l’avènement d’une société de post-capitalisme
prétendument transcendée dont il est de plus en plus clair qu’elle est élaborée par les mêmes qui nous
élabore le présent foutoir !