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Parrhesia

Parrhesia

Gaulliste fidèle, attentif et documenté depuis l'année 1957.
Je ne me manifeste sur AgoraVox que sous le seul et unique pseudo de Parrhesia et je m'efforce de le faire sans concession et avec objectivité.
Addendum (3/3/2023)
 Mon attachement inconditionnel à la Liberté d'Expression explique que je me sois toujours refusé à censurer quelque article ou commentaire que ce soit, y compris ceux qui, à mon sens, contribuent activement à la destruction de La France. 
Mais désormais, la liste des articles admis à paraître, comparée à la liste proposée en "modération", reflète une partialité de plus en plus contestable.
Ne pas répondre à la censure par la censure constitue donc une faiblesse condamnable, voire même, complice !
Jusqu’au mois de Mars 2023 le pourcentage des articles que j'avais censuré était resté à zéro !
À compter de ce jour cela ne sera plus le cas !
Que l'on comprenne pourquoi !
 
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 06/03/2015
  • Modérateur depuis le 05/12/2015
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 22 2470 602
1 mois 0 1 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 332 320 12
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Parrhesia Parrhesia 22 janvier 13:03

    >>>  Le danger que représente Trump pour nos industries, les viticulteurs, les agriculteurs est une réalité et nous allons souffrir de sa politique économique qui ne nous fera pas de cadeaux. <<<

    Beaucoup de choses vraies et importantes dans cet article.

    Par contre ce passage est fort contestable. Le danger véritable pour tous les secteurs de notre socio-économie et pour l’avenir de plus en plus incertain de la France, ne réside pas dans la politique de Trump au États-Unis. Le danger réside dans l’incompétence crasse de nos nouvelles élites, et dans la trahison pure et simple de plusieurs de nos gouvernances toutes sensibilités politiques confondues.

    La preuve en a été administrée par les résultats économiques français tout-à- fait inespérés de la politique de de Gaulle dans les années soixante.

    A cette époque, et en dépit des désaccords profonds existant entre la France de de Gaulle et des États-Unis toujours sous le coup du mépris « rooseveltien » de la France, deux usines General Motors (alors première compagnie au monde) produisaient en France, fournissaient du travail bien rémunéré à de la main-d’oeuvre française et généraient des royalties pour le Trésor Américain.

    A cette même époque, la mise en place par le général de Gaulle d’un protectionnisme éclairé et efficace garantissait à la fois la protection de notre économie, des échanges avantageux avec le monde entier et un progrès social que seuls les tenants d’un mondialisme ou de l’autre continuent à dénier.

    Pourquoi ? Parce que cette politique de la France était alors basée sur une sorte de philosophie équitable, réaliste et éternels des échanges.

    Or, nos énergumènes actuels, dont le seul credo est maintenant « plein les poches grâce à l’illusoire religion du Nouveau Monde village global », sont parfaitement incapables tant d’une telle approche philosophique que des compétences techniques qui devraient être déployés.

    Ce qu’il faut, c’est le retour à l’esprit analytique des années soixante françaises et à ses méthodes actualisées appropriées !

    Pour tout dire, ce qu’il faut maintenant c’est une nouvelle évolution aux parfums de révolution !



  • Parrhesia Parrhesia 19 janvier 14:40

    @lephénix
    Merci infiniment pour votre article et pour ce commentaire que j’approuve entièrement.
    Si vous le permettez, juste une précision concernant les « Trente glorieuses ».
    Es qualité de « produit d’avant-guerre », je peux témoigner qu’en ce qui concerne la France, elles ne coïncident pas à leur période effective dans le reste du monde. Les trente glorieuses n’ont réellement commencé en France qu’en 1959, c’est-à-dire après le début de l’effet « de Gaulle ».
    Mais encore une fois, compliments pour votre article.



  • Parrhesia Parrhesia 19 janvier 09:48

    Deux faits sont clairs :

    D’une part, certains abus déjà trop visibles de la puissance informatique par des directeurs financiers, commerciaux, R.H. et autres tenants d’un libéralisme parfaitement méprisants tant de l’usager que des bienfaits de l’ergonomie et de la normalisation  ;

    et d’autre part, certains débuts déjà visiblement agressifs de l’utilisation de l’ I.A. par les mêmes ainsi que par une classe politique parfois dévoyée et/ou de trop faible qualité.

    Deux faits qui ne nous promettent pas que des matins qui chantent tant le progrès technique et scientifique n’est bénéfique que pour autant qu’il reste l’outil de mains à la fois expertes, humanistes et morales !

    Nous pouvons douter que ce soit le cas en ce moment.



  • Parrhesia Parrhesia 15 janvier 12:07

    >>> Tous ont partagé la conviction selon laquelle l’indépendance de la France tient à celle de l’Europe et réciproquement. <<<

    Pour oser inclure le général de Gaulle dans la clique de ceux qui ont œuvré à la gestation de la contre-europe actuelle, il faut quand même avoir un sacré culot ! 

    Par contre, il faut ne pas avoir peur de montrer que l’on milite en douce pour le camp mondialiste n°2, c’est-à-dire le camp du capitalisme exclusivement financier, celui qui a supplanté en Europe la tentative hégémonique mondialiste n°1 : celle du communisme stalinien, K.O. debout après la chute du mur de Berlin. 



  • Parrhesia Parrhesia 14 janvier 10:28

    >>> Ni le RN ni probablement le PS, entre autres, ne souhaitent une censure à froid. <<<

    Voilà qui en dit long comme un jour sans pain, tant sur la compétence de l’auteur de cet article que sur la valeur intrinsèque du petit personnel des restes politiques de la France.

    Ce n’est plus le bien fondé ou non d’une censure qui va déterminer la décision. C’est l’idée aussi vague que rance de l’intérêt que le petit personnel politique peut avoir à soutenir ou non un pouvoir de pitres à peu-près totalement déconsidérés dans l’ensemble des chancelleries de la planète !

    Ce n’est pas encore cette semaine que nous allons sortir du cloaque.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


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