Un usage récent de la vitamine C à hautes doses bizarrement peu connu ???…
Vitamine C à la rescousse !
par Julien Coblence / mardi 9 octobre 2012 Agoravox
(…) « Il s’agit d’une étude menée par le professeur Atsuo Yanagisawa du
« Japanese College of Intravenous Therapy » sur des personnes
travaillant sur le site de la désormais fameuse centrale de Fukushima.
Grâce à ce docteur, ces pauvres bougres qu’on envoie se faire irradier à
hautes doses ont reçu une injection de 25 000 mg de vitamine C par voie
intraveineuse avant d’aller travailler sur le site radioactif. L’équipe
du Dr Yanagisawa a ensuite procédé à une évaluation médicale des
individus « vitaminés ». L’analyse a montré que leur ADN n’avait pas
subi de dommages et qu’ils ne présentaient pas d’indicateurs
précancéreux. Chez les travailleurs n’ayant pas été traités à la
vitamine C, l’ADN avait subit des dommages et les indicateurs
précancéreux étaient bien présents. Par la suite, l’équipe de recherche
leur a administré des hautes doses de vitamine C intraveineuse et ils
ont tous récupéré de ces dégats radioactifs.
Toutefois, l’étude a été présentée en Mai 2012 et, à ce jour, on a
pas encore entendu parler de ces informations fantastiques. Aucun des
principaux intéressés (si on se borne à l’administration de vitamine C
pour protéger des radiations ionisantes), TEPCO [Tokyo Electric Power
Company], le gouvernement japonais ou les principaux médias japonais,
n’ont fait écho de cette étude. Les implications sont pourtant
phénoménales. Imaginez qu’on puisse protéger des radiations nucléaires
les populations habitant aux abords de ce désastre environnemental. Cela
ne vaudrait-il pas le coup d’essayer ? Surtout si on considère toutes
les données concernant l’innocuité de cette vitamine qu’on ne manque pas
d’ajouter dans nombre de plats préparés sous le pseudonyme mystique de
E300. »
… Source pour cet article : http://www.orthomolecular.org/resources/omns/v08n17.shtml