Il y a plusieurs évidences qu’il est interdit d’aborder dans le débat
public en France en 2022 :
1) L’AME sert de pompe aspirante à l’immigration extra-européenne… en
conjonction avec d’autres mesures telles que l’attribution d’allocations
sociales non contributives aux immigrés … ou le regroupement familial.
2) Nous n’arrivons pas à intégrer les vagues d’immigration africaine
survenues depuis une cinquantaine d’années. Nous ne sommes plus du tout au
début du XXe siècle dans la situation d’intégrer des Polonais, Italiens ou
Espagnols. A cette époque, il n’y avait pas de colonel Beltrame égorgé, ni de
cousines assassinées à la gare Saint-Charles de Marseille, ni de professeur
Paty décapité… ni de policiers égorgés à la préfecture de police de Paris, ni
de père Hamel égorgé dans son église… ni l’assassinat raciste de Thomas à
Crépol au bal du village. Il n’y avait pas non plus des trafics en tout genre
dans les cités minières… On ne parlait pas de refus d’obtempérer… de guerre des
gangs, de voitures incendiées le soir de la St Sylvestre.
Tout cela est tellement évident, tellement énorme que même les Français,
qui n’ont que leur poste de télévision comme source d’information et sont submergés
de propagande, finissent par se rendre compte qu’un problème existentiel est posé
à la nation. Mais le pouvoir mondialiste et la gauche complice sont unis dans
le déni de réalité et interdisent d’aborder la question sans être taxé immédiatement
d’extrême droite.
D’ailleurs, moi qui
écris ces lignes, ne serais-je pas un néofasciste désireux de ramener la France aux heures
sombres de notre Histoire, voire de construire des camps d’extermination ? C’est
cela la diabolisation dès que l’on pose des questions qui fâchent, alors qu’elles
sont sur les lèvres de l’immense majorité de la population.