@Panoramix
bpnjour
1/partie
Depuis 1999 j’écris que le fascisme se développe en France, cela
depuis les années 1984 avec une monté de la criminalité liée
à la stagnation des salaires entrepris en 1977. l’évolution
technologique qui détruit des emplois plus qu’elle n’en crée,
et l’entrée dans le consumérisme pour maintenir des emplois qui
se sont développés dans les pays étrangers et ont conduit la
France à adopter des mesures d’austérités qui se poursuivent
toujours, contrôlées maintenant par la BCE en France. En 1990 le
monde est devenu capitaliste ? Depuis la mondialisation et l’UE
font peur, car ils développent essentiellement des politiques
capitalistes dans tous les pays du monde à l’exception de Cuba. Or
nous savons historiquement que le capitalisme nourrit les conflits et
les guerres, car il n’a pas pour finalité de créer des emplois.
Il en découle des exclus, dans tous les pays, qui en fait
progressent, comme nous, suivant trois courbes, 1/une de l’évolution
de leur population, 2/une stagnation des salaires pour pourvoir être
compétitifs, c’est-à-dire moins de capacité à consommer, car ce
sont seulement les salariés qui nourrissent la consommation, ensuite
la pratique de l’offre pour capter cette masse salariale, dont la
compétition dépasse de loin les possibilités financières avec une
création monétaire restreinte et verrouillée par la BCE. 3/une
augmentation du consumérisme par l’offre à partir de 85, d’où
la guerre des prix les plus bas que nous connaissons avec leurs
incidences. Le tout à engendrer une montée de la délinquance et de
la criminalité de 1970 à 1995. Depuis comme les critères
économiques n’ont pas varié, cette criminalité se maintient en
France à 3 700 000 crimes et délits ne justifiant en rien le
sentiment d’insécurité qui est lié essentiellement à
l’information médiatique et son effet loupe. Effet loupe, sur
laquelle la population réagit depuis sa mise en place dans les
années 1990 que l’on appelle cela stratégie de l’émotion.
Elle a naturellement renforcé les peurs et réclamé plus de
policiarisation, de judiciarisation et de surveillance. Situation où
les citoyens y perdent leur liberté et se sentent agressés en toute
chose, en faisant circuler par les réseaux et les vidéos des faits
et comportements criminogènes. Réagissant avec emportement sur tous
les crimes jugés infâmes ou politiquement agressifs.
Suivant tout cela
depuis des années malgré la difficulté de trouver des statistiques
globales, car l’émotion est maintenue par des stats analytiques
que permettent les machines intelligentes et que l’on peut utiliser
suivant ses intérêts politiques, ce qu’ont dont fait les partis
politiques et particulièrement le FN/RN. Car petit à petit devant
l’incapacité à lutter contre les mesures d’austérités, les
populations se sont tournées vers la délinquance et réclamé plus
de sécurité face aux informations criminalistiques sur lesquelles
les partis politiques de droite essentiellement faisaient leur
électorat. Aujourd’hui, il ne peut plus échapper à personne que
la police est présentée comme étant présente en toute chose comme
un élément salvateur. Et qu’il n’y a pas une chaîne qui n’a
sa série consacrée à l’exposition de l’action des polices. Et
elle est suppléée par tous les agents de sécurité et par les
caméras de surveillances. Autant d’illusions sécuritaires, qui
ont bonne presse, mais ne remettent pas en cause les événements
ayant conduit à un nombre élevé des crimes et délits, qui se
maintiennent et sont dus à la victoire du capitalisme en 1990. Il
existe depuis la nuit des temps, car l’exploitation pour de la
monnaie n’a pas commencé avec l’industrialisation, qui n’a
fait que l’accélérer.