Bonjour, Cenabum
je viens de retrouver votre premier article sur ce sujet, du 7 décembre, intitulé « Il y a comme un loup ».
Votre article nous annonçait une enquète d’utilité publique pour l’installation de loups castrés dans un enclos, à des fins de séminaires.
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J’en profite pour reposter ma réponse de l’époque, qui traduit toujours ma pensée d’aujourd’hui.
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"Dans la plupart des organisations, dont les entreprises, « l’esprit
maison » propre à chacune d’entre elles, est impulsé par la Direction de
l’entreprise et redescend par l’intermédiaire de l’encadrement...
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Dans certaines d’entre elles, ces stages trouveront grâce aux yeux
des « décideurs », celles ou ces derniers se prennent pour des loups, et
ou on y traite les gens comme des chiens.
Ce genre de stage permet aux acteurs de se prendre pour des loups.
Puisque c’est comme ça dans la nature, ça les valorise, décomplexe,
désinhibe, déculpabilise, pour faire ce que l’on attend d’eux : écraser
ceux qui sont plus bas dans la hiérarchie.
Naturellement, on aurait pu faire le même type de stages en utilisant
des chiens, descendants du loup, et au comportement en meute très
similaire.
Allez savoir pourquoi ils ont préféré le loup... "