@SEPH
Voici des exemples de propos tenus par les élites militaro-politiques, étatiques, et religieuses
israéliennes qui entretiennent la haine des Palestiniens.
On trouve parmi les auteurs des Premiers ministres, ministres, chefs d’état-major de
l’armée, officiers généraux, rabbins, journalistes, etc-, leurs termes
pour décrire les Palestiniens sont identiques en tous points à ceux que
les nazis utilisèrent pour avilir et criminaliser leur communauté.
- « Les Palestiniens sont comme des cancrelats dans un bocal », (1979…), Rafael Eitan, ex-chef d’état-major de l’armée israélienne, 1979.
- « Les
Palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux pieds », « des
criquets qui devraient être écrasés », Menahem Begin, ex-Premier
ministre, 1982.
- « Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux Arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille », (Rafael Eitan ex chef d’état-major et ex-vice-premier ministre israélien, New York Times, 14 avril 1983).
- « Les
Palestiniens seront écrasés comme des criquets … leurs têtes éclatées
contre les rochers et les murs », Yitzhak Shamir, ex-Premier ministre,
1er avril 1988.
- « Les Palestiniens sont comme les
crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent », Ehud
Barak, ex-Premier ministre, ex-ministre de la Défense, Jerusalem Post
du 30 avril 2000.
"Cette identification au monde animal,
tout comme le zoomorphisme des nazi-fascistes, classe les Palestiniens
dans la catégorie des sales bêtes. Fantasmes et imaginaire aidant, les
insectes et les reptiles représentent ce qu’il y a de pire dans le monde
animal. De plus la figure et le statut de sales bêtes, – criquets,
cafards, rats, etc, – auxquels sont assignés les Palestiniens, renvoient
à une nuisibilité, une inutilité ontologique. Et comme les nuisibles,
ils doivent être exterminés."
Voir l’excellent article : « L’assignation à l’animalité des Palestiniens par les élites dirigeantes israéliennes. Une vieille histoire… sioniste »
https://investigaction.net/animaliser-les-palestiniens-une-vieille-habitude-des-dirigeants-israeliens/