@Fergus
C’est l’intérêt des périodes historiques
critiques .Elles sont très révélatrices. Elles mettent en lumière la véritable nature de la propagande des vassaux
qui travaillent avec persévérance à tenter
de continuer de saper ce qui vit encore de l’esprit de souveraineté dans l’esprit
des peuples de l’Europe.
→ Quelques repères
parmi bien d’autres si on prend la peine de chercher un peu. Le véritable visage des acteurs et nature des intérêts
et enjeux en cause. Prenons garde à ce que le chemin de la paix l’emporte, nous
devrons probablement le défendre très vite dans la rue pour nous faire
entendre, parce que toujours, attentistes ou suiveurs, nous payons, comme ceux
qui nous ont précédés, cash le prix de la guerre quand ceux qui nous y ont
poussés d’une manière ou d’une autre en récupèrent les dividendes.
« Le
New York Times, le 25 février, a publié une enquête passionnante décrivant
comment, depuis 2014, la CIA a implanté 12 bases secrètes en Ukraine et formé
les services ukrainiens pour espionner à grande échelle la Russie. On y apprend
que les Ukrainiens ont plusieurs fois dépassé les lignes rouges fixées par
leurs interlocuteurs et organisé des exécutions ciblées contre des leaders
russes ou séparatistes. On y découvre que ces personnels américains n’ont
évidemment pas été évacués au commencement de la guerre, mais officient en
territoire ukrainien et que, s’ils « n’appuient pas sur la gâchette »,
ils « ajustent le tir ».
On le
savait, bien sûr. On se souvient du sommet de l’Otan en 2008, dans lequel les
Américains, contre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, voulaient à toute force
intégrer la Géorgie et l’Ukraine pour acculer la Russie dans ses frontières. On
se souvient du documentaire de Paul Moreira sur Maïdan, qui montrait cette
réunion à Kiev, en 2016, dans laquelle le patron de la CIA assurait que là se
situait la « ligne de front ». Mais il ne fallait pas le dire. On
était un complotiste, voire un suppôt de Poutine. Aujourd’hui, le New York
Times l’écrit parce qu’il s’agit de convaincre les Américains que,
contrairement à ce que disent les élus républicains qui refusent de voter les
crédits, cette guerre est bien la leur. »
Citation
éditorial Marianne, Natacha Polony (27/02/24).