Le genre est une idéologie et non une théorie scientifique. Voici ce qu’il faut répéter indéfiniment
:
1) La vérité est dans la génétique,
fruit de dizaines d’années d’études et de recherches menées par des milliers de
personnes de toutes races, de tous sexes et de tous pays.
2) Tous s’accordent pour conclure que
notre sexe est déterminé DÈS notre première cellule diploïde résultant de la
fusion de l’ovule et du spermatozoïde, et NULLEMENT par notre vie sociale.
Malgré toutes les ambiguïtés que peut répéter la propagande transgenre, ON NE PEUT PAS
CHANGER DE SEXE PARCE QU’IL EST INSCRIT DANS CHACUNE DE NOS CELLULES DIPLOÏDES.
3) Il n’y a aucun doute possible
concernant le sexe d’une personne qui est très simple à déterminer : il suffit
de lui faire une prise de sang et une analyse chromosomique de ses globules
blancs. Si la 23e paire des chromosomes est XX, la personne est une femme... si
elle est XY, la personne est un homme, et cela quelles que soient ses
affirmations.
4) Une personne qui se dit « transgenre »
ne peut pas produire de gamètes du sexe auquel elle prétend appartenir et ne
pourra PAS transmettre SON patrimoine génétique. Même un homme qui se dirait femme et se ferait greffer un utérus
et des ovaires transmettrait de toute façon le patrimoine génétique de sa
donneuse (celle à laquelle appartenaient les ovaires) et non le sien. De plus, il est
hautement improbable que la grossesse aille jusqu’à son terme.
CONCLUSION :
Le genre recouvre des maladies mentales qui ont toujours existé et dont
le traitement relève de la psychiatrie. Heureusement, une personne qui se dit
« transgenre » ne peut pas produire de gamètes du sexe auquel elle
prétend appartenir et ne pourra PAS transmettre son patrimoine génétique ... La nature, protège donc l’espèce en éliminant les déviants qui ne peuvent
contribuer à sa pérennité.