@Octave Lebel
Ne soyez pas agressif à chaque intervention, on peut débattre calmement.
Oui, une part de ce qui est assuré en France par des caisses publiques est assurée dans d’autre pays par des organismes privées. Il n’en n’est pas moins vrai que nous redistribuons globalement en France davantage que la plupart des autres pays.
La question de la répartition des prélèvements se pose assurément, les ’’plus gros’’ ont des combines pour les réduire, donc à masse prélevée égale il faudrait qu’ils contribuent davantage, pour réduire ce que paient les déciles intermédiaires, les plus pressurés.
Les aides aux entreprises devraient évidement être assorties de conditions, mais il faut distinguer les diminutions de prélèvements (on vous prend moins), par rapport à des subventions (on vous donne).
Mon propos n’est pas de diminuer l’effort de redistribution, mais d’en o͇p͇t͇i͇m͇i͇s͇e͇r͇ ͇l͇’͇a͇s͇s͇i͇e͇t͇t͇e͇ ͇d͇e͇ ͇p͇r͇é͇l͇è͇v͇e͇m͇e͇n͇t͇ ͇e͇t͇ ͇l͇’͇e͇f͇f͇i͇c͇a͇c͇i͇t͇é͇ ͇d͇’͇u͇t͇i͇l͇i͇s͇a͇t͇i͇o͇n͇, plutôt qu’augmenter la masse sans efficacité -ainsi l’hôpital a eu sa dotation augmentée de 20% par rapport à l’avant covid, mais pourtant le service continue de se dégrader-.
L’un des points critique de notre modèle social est qu’il y a une part croissante de ’’bénéficiaires non cotisants’’, alors que la vraie ’’solidarité’’ est participative autant que faire se peut à l’effort général (esprit du CNR).