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Commentaire de Legestr glaz

sur Vérifions l'état de nos forces avant d'aller tirer les moustaches de l'ours !


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Legestr glaz Legestr glaz 18 mars 2024 15:52

@chantecler

Après un siècle d’expérimentation et d’études, ainsi que des milliards de dollars incalculables dépensés pour cette « guerre contre les virus », nous devons nous demander s’il ne serait pas temps de reconsidérer cette théorie.

Depuis plusieurs décennies, de nombreux médecins et scientifiques soutiennent que cette compréhension communément acceptée des virus est basée sur de fausses idées fondamentales.

Fondamentalement, plutôt que de voir les « virus » comme des entités indépendantes, exogènes et pathogènes, ces médecins et scientifiques ont suggéré qu’ils seraient simplement les particules de dégradation ordinaires et inévitables des tissus stressés et/ou morts ou mourants. Ils ne sont donc pas pathogènes, ils ne sont pas nocifs pour les autres êtres vivants et il n’existe aucune raison scientifique ou rationnelle de prendre des mesures pour se protéger ou protéger les autres contre eux.

Les idées fausses sur les « virus » semblent provenir en grande partie de la nature des expériences qui sont utilisées comme preuve pour affirmer que de telles particules existent et agissent de manière pathologique comme décrit ci-dessus. Essentiellement, les publications en virologie sont en grande partie de nature descriptive, plutôt que des expériences contrôlées et falsifiables fondées sur des hypothèses qui sont au cœur de la méthode scientifique.

Peut-être que la principale preuve que la théorie virale pathogène est un problème, c’est qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels de tout humain ou animal malade. En utilisant la définition communément acceptée de « l’isolement », qui est la séparation d’une chose de toutes les autres choses, il est généralement admis que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie. Il n’a pas été démontré que des particules qui ont été isolées avec succès par purification sont compétentes pour la réplication, infectieuses et pathogènes, elles ne peuvent donc pas être considérées comme des virus. De plus, les « preuves » de virus fournies par les « génomes » et les expériences sur les animaux proviennent de méthodologies avec des contrôles insuffisants.

Les expériences suivantes devraient être menées à bien avant que la théorie virale puisse être considérée comme factuelle :

1. une particule unique ayant les caractéristiques d’un virus doit être purifiée à partir des tissus ou fluides d’un être vivant malade. La méthode de purification à utiliser est à la discrétion des virologues mais des micrographies électroniques doivent être fournies pour confirmer la purification réussie de particules virales présumées morphologiquement identiques ;

2. la particule purifiée est caractérisée biochimiquement pour ses composants protéiques et sa séquence génétique ;

3. il doit être prouvé que les protéines sont codées par ces mêmes séquences génétiques ;

4. il doit être démontré que les particules virales purifiées seules, par une voie d’exposition naturelle, provoquent une maladie identique chez les sujets testés, en utilisant des témoins valides ;

5. les particules doivent ensuite être ré-isolées avec succès (par purification) du sujet de test au point 4 ci-dessus, et il doit être démontré qu’elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules trouvées à l’étape 1.

Cependant, nous réalisons que les virologues ne peuvent pas suivre les étapes décrites ci-dessus, probablement parce que toutes les tentatives à date ont échoué.

Ils évitent maintenant simplement cette expérience, insistant sur le fait que ce qu’ils appellent des « virus » ne peuvent pas être trouvé en quantités suffisantes dans les tissus de toute personne ou animal malade pour permettre une telle analyse. Par conséquent, nous avons décidé de rencontrer les virologues à mi-chemin.

  • Dans un premier temps, nous proposons que les méthodes des usages actuels soient mis à l’épreuve. Les virologues affirment que ces virus pathogènes existent dans nos tissus, cellules et les fluides corporels parce qu’ils prétendent voir les effets de ces supposées particules uniques dans une variété de cellules de cultures. Ce processus est ce qu’ils appellent « l’isolement » du virus. Ils affirment également qu’en utilisant la microscopie électronique, ils peuvent voir ces particules uniques dans les résultats de leurs cultures cellulaires. Enfin, ils prétendent que chaque « espèce » de virus pathogène a son génome unique, qui peut être séquencé soit directement à partir des fluides corporels de la personne malade ou des résultats d’une culture cellulaire.

  • Nous demandons maintenant à la communauté virologique de prouver que ces allégations sont valides, scientifiques et reproductibles. Plutôt que de s’engager dans des échanges verbaux inutiles, mettons fin à cet argument en faisant des expériences scientifiques claires, précises qui, sans aucun doute, montreront si ces affirmations sont valables.



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