@Serge ULESKI
L’océan servit de linceul à tous les morts des navigations hauturières depuis des siècles, qu’il périrent naufragés, égarés en mer, du choléra, du scorbut, ou sous les coups de fouets d’un tyranneau maître de bord, d’un William Bligh...
Il en mourut certainement autant sinon plus du temps des traites négrières. Aujourd’hui ce n’est qu’une version moderne en « bandes organisées » (Soros, ONG, politique migratoire de l’U€, ...), la marchandise corvéable est la même.
On s’est toujours demandé comment ,avec de frêles
embarcations chargées à bloc, les migrants pouvaient arriver jusque sur
les côtes européennes. La réponse est simple ! leur navigation n’est pas au long cours, c’est un voyage organisé, avec risque de chavirage très élevé pour peu qu’il y aurait un peu de houle
Un drone guidé depuis un avion de
Frontex (rebaptisée depuis 2016 « Agence européenne de garde-frontières
et de garde-côtes ») a filmé à 100 km de Lampedusa, le transfert en
pleine mer de dizaines de futurs « naufragés » sur une barque. (vidéo Frontex 1’32)
... https://www.profession-gendarme.com/invasion-programmee-de-leurope/comment-page-1/
Une fois transbordés dans des barques depuis des navires (genre
chalutiers) affrétés par (?...), ces aventuriers attendent l’arrivée
d’un navire genre Ocean Viking... sauf que des fois ça rate, hélas, les
gilets de sauvetage s’ils protègent de la noyade, ne suffisent pas, et
n’évitent pas l’inévitable hypothermie à très court terme, la
température de l’eau étant bien inférieure à celle du corps, le temps de
survie n’est au mieux que de quelques heures suivant le T° de l’eau.