@Aristide

Ah bon ? Par que l’histoire est morte est enterrée ? En êtes vous aussi certain que cela ?

La vice première ministre canadienne est la petite fille d’un nazi notoire qui fût préserver au Canada, à l’UCC pour être exact.

Concernant son grand père, Mykhailo Chomiak, il a dirigé le quotidien Krakivski Visti (Nouvelles de Cracovie), le journal en langue ukrainienne, le plus influent de l’Europe nazie jusqu’à l’effondrement imminent du Troisième Reich ce qui le contraignit à cesser sa publication à la fin du mois de mars 1945

Cette même première ministre a écrit en 2015 : Mes grands-parents maternels ont fui l’Ukraine occidentale après qu’Hitler et Staline ont signé leur pacte de non-agression en 1939. Ils n’ont jamais osé y retourner, mais ils sont restés en contact étroit avec leurs frères et sœurs et leurs familles, qui sont restés sur place. Pour le reste de leur vie, mes grands-parents se sont considérés comme des exilés politiques ayant la responsabilité de maintenir en vie l’idée d’une Ukraine indépendante, qui avait existé pour la dernière fois, brièvement, pendant et après le chaos de la révolution russe de 1917. Ce rêve a persisté jusqu’à la génération suivante, et dans certains cas jusqu’à la génération d’après.

Ce qui met en évidence deux chose. Elle ment et elle fait les éloges de ses grands parents qui lui ont transmis les valeurs du nationalisme ukrainien selon ses propres dires ; les valeurs du nationalisme par des nazis je trouve cela limite.

La standing ovation du parlement canadien pour un ancien SS ukrainien n’est pas un hasard, pas plus que la réception dans les années 80 de nazis ukrainiens par le président des USA ni d’ailleurs le fait que le drapeau nazi de l’OUN a flotté sur le capitole des USA en 1983, pendant une semaine.

On peut toujours se rassurer en se disant que c’est anecdotique, mais je serais un brin plus prudent.