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Commentaire de SEPH

sur De la fondation d'Israël à la situation actuelle : la terrible continuité


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SEPH SEPH 7 mai 2024 14:02

@yvesduc
En effet, les sionistes ne manquent jamais de culot

Voici quelques citations de sionistes : :

TEODORE HERZL (fondateur de l’organisation sioniste mondiale 1895) : « Expulsez la population pauvre (les Arabes) au-delà de la frontière en leur refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être géré avec discrétion et circonspection ».

VLADIMIR JABOTINSKY (fondateur des organisations sionistes 1923) : « La colonisation sioniste doit être menée contre la volonté de la population indigène. C’est pourquoi cette colonisation ne doit se poursuivre que sous la protection d’un pouvoir indépendant de la population locale, tel qu’un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. C’est notre politique contre les Arabes. »

JOSEPH WEITZ (chef du service colonisation 1940) : « Entre nous, je peux dire qu’il est clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous ne pourrions atteindre notre objectif tant que les Arabes seraient présents. Il n’y a pas d’autre possibilité que de les déplacer vers les pays voisins. Aucun village, aucune tribu ne doit rester. »

DAVID BEN GOURION : « Pourquoi les Arabes devraient-ils faire la paix ? Si j’étais un dirigeant arabe, je ne signerais jamais avec Israël. C’est normal : nous avons pris leur pays. Bien sûr, Dieu nous l’a promis, mais pourquoi cela serait-il important pour eux ? Notre Dieu n’est pas le leur. Nous sommes Israéliens, c’est vrai, mais il y a deux mille ans : qu’est-ce qui les préoccupe ? Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus voler leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? Peut-être qu’ils l’oublieront dans une génération ou deux, mais pour l’instant, il n’y a aucune chance. Alors c’est simple : il faut rester fort, avoir une armée puissante. Toute la politique est là. Sinon, les Arabes nous détruiront.

YITZHAK RABIN (version censurée de ses mémoires de 1979) : « Nous sommes sortis, accompagnés de Ben Gourion, nous avons demandé : « que devons-nous faire de la population palestinienne » ? Ben Gourion lève la main dans un geste pour dire : « Chassez-les ». ”

GOLDA MEIR (Premier ministre israélien) : « Nous ne pardonnerons jamais aux Arabes de nous forcer à les tuer et de transformer nos enfants en meurtriers. »


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