@alinea
le savoir qui découle du principe de causalité maître de la réalité est toujours convaincant, car sans cela, aucun outil, quel que soit sont niveau technique que demande sa réalisation ne pourrait exister.
Bref, le savoir issu des lois physiques définies par le principe de causalité fini toujours par convaincre, de gré ou de force, car ceux qui refusent de s’y soumettre finissent par être rapidement détruits.
Et cela s’applique aussi aux relations humaines !
Mais tant qu’une majorité d’humains persisteront à confondre l’imaginaire et la réalité, il sera toujours possible et facile aux manipulateur et malins de contrôler les imaginaires de ceux qui les écoutes.
mais tout ceux qui ne confondent pas l’imaginaire et la réalité ne peuvent pas être manipulés, sinon par eux même.
Ainsi, le principe de causalité, maître de la réalité dit clairement que la paix ne peut advenir que sous la condition que la force publique soit détenu par ceux qui rendent la justice et non par les justiciables organisés en gangs ou en cartel de gangs tels les dirigeants des pays au sein de l’OTAN par exemple.
Bref, ceux qui affirment vouloir la paix du monde tout en prônant la souveraineté nationale, font de la novlangue, car la souveraineté est exclusive et n’admet pas de loi supérieure, or, toute communauté, quelle que soit son échelle, de la famille jusqu’à la communauté mondiale ne peut vivre en paix et justice que par la loi et la soumission à cette loi.
Appliqué à la situation palestinienne, comment demander au respect du droit international et en même temps, invoquer la souveraineté nationale sans que cela soit une aporie ? Le respect de la souveraineté palestinienne ? Mais dans un rapport de force, la notion de respect est seulement celle de la soumission du faible au fort, rien d’autre ! Et si la volonté du plus fort est ta mort, alors, s’est le principe même de sa souveraineté qui le lui donne.
Ceci car dans la réalité, l’être est soumis aux lois physique, tandis que dans son imaginaire, il en est le maître.