La ligne officielle du parti c’est le soutien inconditionnel à l’enclave sioniste, y compris le soutien moral pendant le massacre de masse de civils, femmes et enfants, y compris le soutien tacite à des dirigeants qui ont tenu des propos incitant indéniablement à la haine puisqu’ils appelaient au génocide des palestiniens, le cas de Netanyahou. En sanctionnant toute critique, y compris sous forme humoristique de la politique de l’enclave sioniste et de ses dirigeants ont se met dans la situation dans laquelle on était en 1940 en France si on osait appeler le chancelier Hitler un « fasciste » et les terroristes s’en prenant à l’occupant des « résistants ».
Mais même ça faut pas dire. Parler simplement d’un « problème en Palestine » relèvera de « l’appel à la haine » sinon de l’antisémitisme viscéral.
L’appel explicite (la référence à Amalek) au génocide des Palestiniens par Netanyahou est parfaitement documenté mais le comparer à un nazi c’est un appel à la haine ?...
Qui imagine qu’on peut imposer dans la violence un « Silence, on tue » pendant qu’on se refuse à prendre la moindre sanction qui pourrait freiner, ne serait-ce que légèrement, le massacre en cours, le tout sans créer d’états d’âmes ?...
« Non assistance à peuple en danger » est le crime commis par l’Occident en général et les directeurs de médias de masse sont là pour qu’aucune tête ne dépasse et le dénonce.
On savait que nos dirigeants ne défendaient ni nos intérêts ni ceux du pays, mais on pouvait se demander encore quels intérêts ils pouvaient bien défendre. Ceux de l’enclave sioniste font partie du lot, on en a la preuve éclatante.
A noter qu’au début des années 180 ; Jean Claude Bourret avait échappé de peu au licenciement pour avoir osé faire son travail de journaliste et publié les chiffres officiels du Ministère de l’Intérieur sur la participation aux manifestations pour l’école libre.
La négation de la réalité par les dirigeants ne date pas d’hier.