@Géronimo howakhan
Merci pour ce témoignage Géronimo. Je viens manger quand ?
Blague à part. J’ai fait traduire le résumé du document transmis ce matin et je le trouve particulièrement bien construit. Voici :
... "La virologie a inventé le modèle viral mais n’a jamais réussi à répondre à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après leur transmission entre hôtes tels que les humains, mais les preuves scientifiques à l’appui de ces affirmations font défaut.
L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des excréments d’organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de choses, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens dictionnaire des mots afin de soutenir leurs pratiques anti-scientifiques.
Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique des particules pour pouvoir bénéficier du statut « isolé ». Un fragment viral doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire compétent en matière de réplication, capable de provoquer une maladie chez un hôte tel qu’un humain. Cependant, les « virus » tels que le SRAS-CoV-2 ne sont rien de plus que des constructions fantômes, n’existant que dans l’imagination et les simulations informatiques.
Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques sélectionnées et de protéines prétendument « virales ». L’existence d’un virus n’est pas requise dans cette boucle de raisonnement circulaire et ainsi, toutes les « pandémies » peuvent être construites sur des créations numériques et faussement entretenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »).
Cet essai contient trois parties.
— La première partie décrit une partie de l’histoire de la virologie et les échecs des virologues à suivre la méthode scientifique. Les affirmations nombreuses et de grande portée des virologues peuvent toutes s’avérer erronées en raison de : (a) le manque de preuves directes, et (b) l’invalidation de « preuves » indirectes en raison de la nature incontrôlée des expériences. Les exemples fournis couvrent tous les principaux aspects de la fraude virologique, y compris les études sur l’isolement présumé, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et la pathogénicité animale.
— La deuxième partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » de COVID-19. Une analyse de la méthodologie sur laquelle se sont appuyés les inventeurs originaux Fan Wu et al., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » grâce à des méthodes anE-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie en cours selon laquelle les virus prétendent exister en les modélisant par rapport à des modèles de « virus » précédents. En prenant le SRAS-CoV-2 comme exemple, la trace des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques ne provenait d’une particule virale – les arbres phylogénétiques sont des fantasmes. La mauvaise application de la réaction en chaîne par polymérase a propagé cet aspect de la fraude en virologie et créé les « cas » pour entretenir l’illusion d’une pandémie.
— La troisième partie fournit une analyse de la manière dont certains acteurs clés, les institutions de « santé » et les grands médias entretiennent l’illusion du virus à travers le contrôle de l’information et des récits qui reproduisent les affirmations de la virologie. Par hasard, la fraude virologique se retrouve désormais au centre de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle peut enfin être démantelé et mis au repos.
Le but de cet essai est de réfuter diverses affirmations selon lesquelles des virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SRAS-CoV-2 a été utilisé comme exemple principal, mais les principes s’appliquent à tous les virus présumés.
Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure sur la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai quelque peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera un créneau pour le lecteur cherchant une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer les fondements mêmes des prétendues pandémies et des fraudes.
19/05 13:05 - Francis, agnotologue
@zygzornifle ’’Faites suivre ! Il paraît qu’il se réclame de gauche !! (...)
19/05 12:57 - zygzornifle
@Fergus Le grand JACK LANG ! ENORME..... Une pratique courante chez ce dégénéré. Vous (...)
16/05 16:25 - tashrin
@Tolzan Mouais On peut faire de très bonnes grillades avec de la viande de qualité et des (...)
16/05 16:23 - tashrin
@Seth Ce qui est donc exactement ce que je disais Mais merci de le preciser Ya pas besoin (...)
16/05 15:05 - Francis, agnotologue
@Legestr glaz Ce texte traduit parfaitement ce que vous soutenez depuis longtemps. Pour la (...)
16/05 14:58 - Tolzan
Juste un petit conseil personnel pour limiter la malbouffe au restaurant : Lire la carte !!! (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération