@Aristide
Tout d’abord, il ne s’agit pas d’aller piller, mais d’avoir des critères d’acceptation parmi ceux qui viennent.
La question est aussi quantitative, il y a certes un besoin de complément démographique pour les ’’classes creuses’’ de natalité, mais la capacité d’intégration est engorgée. On ne peut pas continuer de laisser entrer 500 000 personnes, majoritairement d’autre civilisation, par an (10 millions en 20 ans !), mais 50 000 sont nécessaires.
Il faut revenir aux fondamentaux, à savoir un pays met en priorité la sauvegarde de ses intérêts. Les organismes internationaux n’ont évidemment cure de ces considérations, et défendent des notions planétaires avec par exemple les migrations climatiques, ou encore le financement de pays par leur diaspora. Ainsi, la notion de ’’réfugiés politiques’’ est détournée comme migration de masse. Or leur accueil ne devrait pas être effectué en sus du quota global, mais selon la capacité, sinon aucun contrôle ne sert à quoi que ce soit.
On entend souvent l’argument ’’c’est inéluctable quoiqu’on veuille, donc il faut accueillir dignement tous ceux qui se présentent à nos portes’’ c’est évangélique et philanthropique, mais chimérique et néfaste, on ne verse pas dans un verre le contenu d’une baignoire.