quel tissu de conneries

1/ Le rejet du nationalisme est propre aux européens, depuis la WW2 et l’ingerence US dans la gouvernance europeenne. Les autres (Russie, Chine, USA, pour ne citer que les principaux) sont nationalistes, protegent leurs interets partout fans le monde et ne s’en portent pas plus mal que nous. Voire bien mieux

2/ Le nationalisme appliqué à l’economie, le protectionnisme, a été délaissé par la seul europe sur le fondement des arguments ci dessus. Avec le succès que l’on constate, la ruine. Et contrairement à tous les autres, US en tete, qui ont mis des barrières douanieres fortes. Nous on s’est gentiment suicidés

3/ La gogoche francaise défend le droit des peuples à disposer d’eux mêmes.. Tous non, pas le notre

4/ Sur le plan sociétal, les francais ne sont ni racistes ni xenophobes de manière intrinseque. En revanche, lorsqu’ils se sentent meprisés, humiliés, qu’on leur repete à longueur de JT que ce qu’ils voient dans la rue n’existe pas, et qu’ils voient leur situation se degrader d’elections en elections, ca provoque des réactions. Exactement comme les nazis sont arrivés au pouvoir à la suite de l’humiliation et de la crise economique qui ont suivi WW1. 

5/ Le front republicain, arnaque intellectuelle supreme venant de gens qui pronent la democratie, a vécu. Ca fait combien d’élections qui ont été volées par cette aberration ? Ben vous avez tellement tiré sur la corde qu’elle va vous peter à la gueule, et c’est pas volé en vrai

6/ Le seul argument de la gogoche aujourd’hui, apres 40 ans de n’importe quoi en branche qui a demontré la vacuité de leurs principes moralistes cucul-la-praline, c’est de dire les autres sont méchants. Commencez donc par etre moins ideologues, dogmatiques, arretez de nier la réalité parce qu’ele colle pas avec vos principes hors sol, et peut etre, peut etre, que vous serez entendus

Vous voulez lutter contre les fafs ? Arretez d’être mauvais, déjà

Et lecons de moraline, empreintes de la morgue de celui qui prone des trucs pour les autres qu’il ne supporte pas lui meme, asseyez vous donc dessus