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Commentaire de Legestr glaz

sur Covid : attention au flirt !


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Legestr glaz Legestr glaz 19 juin 10:23

@Francis, agnotologue

 Oui, « on » nous balade en long, en large, et en travers.

Cette affaire de variants et de virus qui reviennent à la charge c’est simplement de la manipulation des esprits pour faire croire à l’existence de « méchants virus » alors que les scientifiques « sérieux » pointent du doigt, en permanence, toutes preuves à l’appui, le rôle incontournable de la pollution atmosphérique dans les maladies cardio-respiratoires, autant en hiver qu’en été.

Même « ’l’anosmie » dont « on » nous parlait comme un « symptôme » de l’attaque du « méchant virus » est en lien très étroit avec la pollution atmosphérique. Une étude du mois de mai 2021 nous montre « comment » la pollution atmosphérique joue sur la perte de l’odorat. 

Conclusions et pertinence : Dans cette étude, l’exposition à long terme aux PM2,5 en suspension dans l’air était associée à l’anosmie. Les PM2,5 ambiantes représentent un facteur de risque potentiellement omniprésent et modifiable de perte de l’odorat.

« Exposure to Particulate Matter Air Pollution and Anosmia » (Exposition à la pollution atmosphérique par les particules et à l’anosmie)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34042992/

... « À notre connaissance, cette étude a révélé l’association la plus forte à ce jour entre l’exposition à long terme à la pollution atmosphérique et l’anosmie. Nous avons observé une association dose-dépendante entre les concentrations croissantes d’exposition aux PM 2,5et l’anosmie qui a persisté pendant 5 ans d’exposition aux PM 2,5, même après ajustement pour tenir compte des facteurs de confusion. Les résultats actuels suggèrent que même de légères augmentations de l’exposition ambiante aux PM 2,5peuvent être associées à l’anosmie, qui a de vastes conséquences sur la santé publique dans le contexte d’une urbanisation mondiale croissante. Cette étude bénéficie de nombreux atouts, notamment un ensemble de données patient robuste et l’utilisation d’une nouvelle stratégie d’appariement des contrôles. »...

Nous parler des « méchants virus » permet de cacher la poussière sous le tapis ! La pollution atmosphérique, autant en hiver qu’en été, est une source considérable de maladies cardio-respiratoires, et ses effets sont, malheureusement « cumulatifs ». Les organismes à l’immunité affaiblie paient un lourd tribu à cette agression de la pollution atmosphérique. C’est bien ce à quoi nous assistons tous les hivers en situation d’inversion thermique et en été lors de la pollution à l’ozone. les « virus » ont bon dos ! 


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