@Collectif Rougenoir
Une analyse du vote extrême, sans oublier que 25% des cégétistes parlent constamment de « bougnoules » ...
Qui
sont les partisans actuels, affichés ou masqués, du Herrhaine et de
Reconquêquette ?
Principalement
motivés par une profonde détestation, parfaitement justifiée, de
l’insignifiant inégalitaire autoritaire éborgneur giflé -qu’ils
viennent me chercher-,
dit
« le beauf d’école de commerce »,
dit
« le pire président de tous les temps »,
qui
est un zéro au carré,
forcené
partisan de l’Assistanat Majuscule des Zaxionnères et des
Milliardères, qui nous coûtent 17 mille fois le total du rsa.
Une
partie significative d’entre eux correspond à la description qui
suit.
Ce
sont des gens principalement bloqués sur la haine des arabes, des
noirs, des bougnoules, des gauchistes, de l’islam, des chômistes,
des syndicalistes, et surtout … => de lfi et jlm … ce qui nous
consacre comme danger principal à leurs yeux.
Ils
ressentent naturellement le besoin de le maquiller avec des mantras
inconsistants :
1.
On n‘a pas encore essayé
2.
La culture française est en danger (mais ils n’en présentent
aucun échantillon)
3.
Trop de mosquées
4.
Trop de prières dans la rue (mais les processions catholiques, ça
va)
5.
Halte au voile des femmes (mais n’aiment pas du tout la laïcité)
6.
Nos églises sont les plus belles (mais vides ...)
7.
Vive la France
8.
Vive la police et les pompiers
Ils
sont impossibles à convaincre
1.
Que le RN vote toujours avec l’extrême bourgeoisie
2.
Qu’ils sont démasqués
3.
Qu’ils sont moins de 29 % des français (en fait 28), en perte de
vitesse depuis les années 50, où plus de 95 % des français
haïssaient les polaks, les boches, les macaronis, les espingouins,
les portos, les bougnoules, les gnakoués, les melons, les ratons,
les crouilles …
Ils
elles se trahissent très souvent dans des éructations haineuses.
Ils
elles ne peuvent jamais se positionner comme des interlocuteurs dans
un dialogue, et encore moins dans un raisonnement.
Bref,
les meilleurs soutiens acharnés de l’extrême bourgeoisie.
Un
attelage brinquebalant qu’il faut regarder en face : des violents
qui souhaitent une vraie dictature, dont les bases sont déjà bien
installées.