Hitler professait une hiérarchie des ’’races’’ humaines, et voulait éradiquer ceux qu’il appelait des sous-hommes (il l’avait écrit dès l’origine) et conquérir des territoires immenses dans toute l’Europe pour en faire un espace vital et des serfs pour la population germanique.
Criminel de l’histoire !
Poutine cherche à maintenir l’influence de la Russie dans sa périphérie immédiate, d’histoire et culture russe. Il a cherché un accord, tout en alimentant un conflit-prétexte en cas d’échec. La relance du processus d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN en 2021 a été la ligne rouge, en sous-estimant la détermination russe à intervenir par la force des armes.
Clash entre l’hégémoniste atlantiste et l’impérialisme russe de proximité.
Poutine n’est pas Hitler, les victimes civiles sont moindres dans ce conflit qu’elles ne sont à Gaza. Mais c’est une guerre destructrice et meurtrière pour les combattants, qui se poursuit parce que chacun se braque pour ne pas perdre la face !
Je suis consterné de voir aussi peu de pression pour une solution négociée au lieu d’une escalade permanente, de la part de leaders d’opinion et de la part de la ’’base’’. Il est vrai qu’il y a une forme de terrorisme intellectuel politico-médiatique visant à qualifier de ’’munichois’’ quiconque parle de cessez le feu. L’escalade en armement et en aide technique n’est pas pour une chimérique reconquête à laquelle plus personne ne croit, mais juste pour éviter l’effondrement. Mais alors, autant s’arrêter avant ! Comme pour Gaza, il faut un cessez le feu en Ukraine