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Commentaire de Legestr glaz

sur Taylor Swift la sorcière ensorceleuse de Joe Biden


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Legestr glaz Legestr glaz 24 juin 2024 10:30

@Legestr glaz

La pollution de l’air dans le monde entier a été associée à une morbidité et une mortalité cardiovasculaires et respiratoires, en particulier dans les zones urbaines où les concentrations de polluants primaires sont élevées.

La pollution atmosphérique est un mélange très complexe de gaz et de particules primaires et secondaires, et son potentiel nocif peut dépendre de multiples facteurs, notamment les caractéristiques physiques et chimiques des polluants, qui varient selon l’emplacement à petite échelle, par exemple, en fonction de la proximité d’un lieu d’émission local, ainsi que la météorologie locale, la topographie et la sensibilité de la population.

Il a été émis l’hypothèse que l’apport de nutriments antioxydants et anti-inflammatoires pourrait atténuer divers effets respiratoires et cardiovasculaires de la pollution atmosphérique grâce à une réduction du stress oxydatif et de l’inflammation. À ce jour, plusieurs études suggèrent que certains effets nocifs de la pollution atmosphérique pourraient être modifiés par l’apport de micronutriments essentiels (tels que les vitamines B et les vitamines C, D et E) et d’acides gras polyinsaturés à longue chaîne. Nous passons ici en revue la littérature existante relative au potentiel de la nutrition pour modifier les impacts de la pollution atmosphérique sur la santé et proposons un cadre pour examiner ces interactions.


Des études épidémiologiques ont montré une association claire entre la morbidité cardiovasculaire, la diminution de la fonction pulmonaire, l’augmentation des hospitalisations, la mortalité et les concentrations atmosphériques de polluants photochimiques et particulaires.


Il est nécessaire d’améliorer notre compréhension de l’impact de la pollution atmosphérique sur les systèmes biologiques.


Par exemple, une meilleure appréciation des mécanismes à l’origine des problèmes de santé induits par la pollution atmosphérique permettrait d’adopter une approche plus ciblée pour éliminer les composants les plus toxiques de la pollution atmosphérique et pourrait éventuellement fournir un moyen de diminuer la sensibilité individuelle à la pollution atmosphérique. À la suite de recherches récentes entreprises dans un certain nombre de pays différents, utilisant une série d’approches différentes, le stress oxydatif a été identifié comme une caractéristique unificatrice sous-tendant les actions toxiques des polluants atmosphériques qui suscitent des inquiétudes.


Il existe désormais de nombreuses preuves indiquant que la réponse inflammatoire pulmonaire qui survient suite à une exposition à un épisode de pollution est médiée par les voies de signalisation des oxydants.


De plus, il semble probable que la sensibilité d’un individu à la pollution soit liée, en partie, à ses défenses antioxydantes pulmonaires.


L’exposition à un large éventail de polluants atmosphériques provoque un stress oxydatif dans les poumons, ce qui semble déclencher des réactions particulièrement dangereuses pour les membres sensibles de la population.




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