@Francis, agnotologue
Et bien moi je soutiens la théorie « non virale », comme beaucoup d’autres.
Tout simplement parce que le développement de certaines maladies « attribuées à des »virus« , s’explique bien mieux par des phénomènes parfaitement bien identifiés que par des »virus« qui n’existent qu’ »in silico« .
J’ai le projet de produire ici un article afin de montrer comment les particules de la pollution atmosphérique affectent la santé humaine. Chaque particule a ses particularités. Le dioxyde d’azote (NO2) ne provoquera pas les mêmes »symptômes« que le dioxyde de souffre (SO2), que l’ozone, que les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), que le monoxyde de carbone (CO), que les matières particulaires (PM2,5 ; PM0,1), que les spores (moisissures). Par ailleurs, ces molécules »primaires« parviennent à se mélanger, provoquant encore d’autres dégâts. Et je n’évoque même pas l’hygiène, la pollution de l’eau ou la malnutrition.
— Le dioxyde d’azote peut causer des irritations aux yeux, au nez et à la gorge et peut aussi causer,par inhalation, des irritations des poumons et réduire la fonction pulmonaire. Dans les zones avec beaucoup de NO2, le risque de crise d’asthme est accru, tout comme le nombre d’hospitalisations dues à des problèmes du système respiratoire.
— Les symptômes qui peuvent être associés à une exposition aux moisissures sont variables. Chacun peut réagir différemment selon son degré d’exposition et son état de santé général. Les principaux symptômes sont les suivants :
— Le dioxyde de soufre affecte le système respiratoire, le fonctionnement des poumons et provoque des irritations oculaires. L’inflammation de l’appareil respiratoire entraîne de la toux, une production de mucus, une exacerbation de l’asthme, des bronchites chroniques et une sensibilisation aux infections respiratoires. Le dioxyde de soufre permet aussi la formation de particules secondaires, par réaction chimique avec l’ammoniac, formant des particules fines de sulfate d’ammonium. Le dioxyde de soufre a donc également un impact indirect sur la santé via la formation de quantités supplémentaires de ce polluant de l’air.
— À des concentrations élevées, l’ozone provoque des problèmes respiratoires, déclenchement de crises d’asthme, diminue de la fonction pulmonaire et amène l’apparition de maladies respiratoires.
— Une intoxication modérée ou grave par le monoxyde de carbone provoque un défaut de jugement, de la confusion, une perte de connaissance, des convulsions, des douleurs thoraciques, un essoufflement, de l’hypotension artérielle et un coma.
— L’exposition humaine aux HAP est due principalement à l’inhalation d’air pollué (fumée de cigarette, pollution automobile, industrielle et domestique) et à l’ingestion de nourriture et d’eau contaminées par les produits de combustion.
Les HAP sont des molécules biologiquement actives qui, une fois accumulées dans les tissus organiques, se prêtent à des réactions de transformation en métabolite. Ces métabolites ainsi formés peuvent avoir un effet plus ou moins marqué en se liant à des molécules telles que les protéines, l’ARN, l’ADN et en provoquant des dysfonctionnements cellulaires. Le Benzo(a)pyrène est l’un des HAP les plus toxiques et le plus étudié, de part son caractère mutagène et fortement cancérigène.
— Les matières particulaires, notées PM pour « Particulate Matter » en anglais (matières particulaires ou particules de matière), sont classées en fonction de leur diamètre aérodynamique exprimé en µm. Celles qui sont analysées en routine par les appareils de surveillance de la qualité de l’air sont les particules de diamètre 10 µm ; elles sont notées PM10 ; on les qualifie de particules « grossières ». On parle de particules fines à partir d’un diamètre inférieur à 2,5 µm (PM2,5). Et on s’intéresse depuis quelques années aux particules dites « ultra-fines », de diamètre 0,1 µm (ou 100 nm), les PM0,1. Des nanoparticules donc.
Ces considérations de diamètre sont fondamentales car elles conditionnent la pénétration des particules dans l’appareil trachéo-pulmonaire et dans l’organisme. De façon très schématique, seules les PM2,5 et plus petites vont pénétrer profondément dans les poumons et jusqu’aux alvéoles pulmonaires ; les PM0,1 pénètrent en partie dans l’organisme en franchissant la membrane alvéolo-capillaire, qui sépare l’air du courant sanguin. La réalité chez l’homme in vivo est sans doute beaucoup plus complexe et encore en partie méconnue. Les particules fines et ultrafines sont les particules dites respirables car elles se déposent dans les poumons jusqu’aux alvéoles. Il a été montré que la déposition particulaire dans les poumons est plus importante chez des malades porteurs de pathologies bronchiques obstructives comme l’asthme et la bronchopathie chronique obstructive. La déposition des particules est hétérogène selon les zones du poumon et il existe une grande variabilité interindividuelle. Une petite fraction des particules ultrafines peut passer dans la circulation sanguine et atteindre ainsi secondairement d’autres organes.
Il est »tellement« facile d’attribuer les maladies cardio-respiratoires aux »virus« . C’est bien le Père Noël qui apporte les cadeaux aux enfants par la cheminée, n’est-ce pas ? On peut ne pas aller au delà d’une réflexion simpliste. On peut faire »comme si« toute cette pollution n’affectait pas la santé humaine. On peut faire »comme si" en période de pollution particulièrement augmentée, les incidences sur la santé humaine étaient dérisoires.
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