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Commentaire de Legestr glaz

sur Vont-ils buter Bardella ?


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Legestr glaz Legestr glaz 1er juillet 2024 14:49

@Francis, agnotologue

Depuis le covid19 les langues commencent à se délier parce que des chercheurs ont quand même, finalement, fait le lien entre infections respiratoires et taux de pollution atmosphérique. 

Par exemple cette étude ci (juin 2021) qui indique, avec plusieurs références : 

...Dans cette étude, nous avons trouvé des associations significatives et positives entre les PM 2,5, le PSI et le NO 2avec le nombre quotidien de cas confirmés de COVID-19. De plus, nous avons trouvé des associations significatives et négatives entre les PM 10, O 3, SO 2, CO, les précipitations quotidiennes et l’humidité avec le nombre quotidien de cas confirmés de COVID-19.

Cela concorde avec les résultats d’études antérieures menées en Italie et en Chine, où le NO 2s’est avéré positivement associé aux cas quotidiens de COVID-19 ( Frontera, 2020 ; Zhu et al., 2020). Avant la pandémie de COVID-19, des études menées en Chine et en Thaïlande ont révélé des associations positives entre le NO 2et la morbidité due au rotavirus ainsi qu’avec le nombre d’hospitalisations ( Phosri et al., 2019 ; Yan et al., 2019). De plus, il a déjà été signalé que l’exposition aux polluants atmosphériques était associée à une augmentation des infections respiratoires ( Chen et al., 2007 ; Huff et al., 2019). Des études antérieures portant sur les effets des PM 2,5ont montré qu’elles étaient positivement associées aux cas quotidiens de COVID-19 en Chine et aux États-Unis ( Wu et al., 2020 ; Zhu et al., 2020). Les mécanismes potentiels de cette association comprennent une altération des mécanismes de défense immunitaire et pulmonaire dans la muqueuse respiratoire et des altérations de la fonction des macrophages alvéolaires en réponse à des expositions à des polluants atmosphériques(Chauhan et Johnston, 2003 ; Huff et al., 2019).

Il existe des différences notables dans nos résultats par rapport aux études précédentes. Il a été démontré précédemment que les expositions au NO 2, au CO et au SO 2étaient associées à un risque plus élevé d’infections respiratoires ( Chen et al., 2007)."...

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33744266/







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