« méfions-nous des patrons »
... mais pas des dictateurs... bravo la clairvoyance communiste ! Au passage, Don Camillo — le sympathique personnage incarné par Fernandel — lutte précisément contre le maire de la ville qui est un démagogue communiste...
"LE dernier havre de solidarité et d’humanité vit encerclée de
communes votantes, toutes R.N. Un souffle de ce que devrait être la
France entière : des gaulois citoyens éclairés, pensants, heureux de
vivre, solidaires et pétris d’empathie."
C’est pas la modestie qui vous étouffe !
C’est dire combien les habitants de ce fief communiste n’ont absolument
pas la fibre suiveuse et cultivent leur particularisme. Un monsieur à
l’accent rocailleux nous dit en début de vidéo : « Ils sont ancrés dans leur machin devant la téloche et bourrage, bourrage, bourrage. » Plus loin, « ils leur mangent le cerveau avé une paille. »
Mais bien-sûr, le bourrage de crâne est inconnu chez les communistes ! Le non-conformisme, le particularisme — j’allais dire l’individualisme — sont cultivés par le communisme. Je connais un certain nombre de villages de cette région, peuplés de gauchos 68ards aux prétentions populaires et qui se pensent originaux. Ils ne se bousculent pas pour aller vivre avec leurs amis islamistes... un peu comme à l’époque du communisme, où ils ne se bousculaient pas pour aller vivre à l’Est...