@rosemar
Allons Rosemar, arrêtez de délirer.
L’IA n’existe pas encore, du moins pas au point que vous semblez croire. Ce qui est utilisé ce ne sont que les clauses de horn, référez vous aux principes du langage Prolog pour vous en convaincre.
Le principe est simple. Dans la plupart des langages de programmation, les langages impératifs et fonctionnels, un programme s’arrêtera dès que la condition sera remplie alors que les clauses de horn permettent d’analyser l’ensemble du champs des possibles pour en extraire in fine la meilleure solution répondant au critère sélectif (c’est un résumé en substance).
Si prolog est un langage d’intelligence artificielle, comme LISP (qui sont des langages déclaratifs, le fait d’utiliser un langage utilisé par l’IA ne fait pas de vos applications des applications intelligentes.
L’intelligence comme l’ont démontré les anthropologues passe par la compréhension de la langue, seul vecteur de transmission du savoir ; à noter qu’il existe une très grande différence entre le savoir et la connaissance. Pour atteindre un certain niveau de connaissance, il faut éprouver le savoir dans un contexte réel. Pour représenter les connaissances, nous utilisons des systèmes à base de connaissances comme les graphes conceptuels (Sowa en est le créateur), héritiers des graphes existentiels de Charles Sanders Pierce.
Mais cela ne permet que de créer des systèmes experts ou systèmes spécialisés qui ont de très grosses limites de raisonnement ; uniquement dans des domaines précis. Sortis de leur spécialisation le savoir et la connaissance du monde sont bien trop complexes aujourd’hui encore pour une machine.