La procédure de sécurisation d’une cible potentielle n’a pas été appliquée et il faudra savoir pourquoi. Ce bâtiment était idéal car il offrait une vue sans obstacle pour un tireur et aurait dû être sécurisé par un personnel. Bien pire, l’officier derrière l’arme sur trépied, Jonathan Willis a publiquement déclaré qu’il avait eu le tireur dans son viseur pendant plus de 3 min sans recevoir de ses supérieurs l’autorisation de tirer. C’est sérieux, car si on peut penser qu’ils cherchaient à vérifier l’identité de ce personnage armé sur un toit, alors dans le doute on ne laisse pas le président comme cible avant d’avoir tiré (au clair) qui est cet inconnu armé sur ce toit en surplomb. Dans un milieu très professionnel qui a assuré des milliers de missions depuis 43 ans (Reagan) sans accroc, imaginer une telle incompétence en chaîne semble plutôt relever de la croyance au père Noël. Comme l’a indiqué Ray Mc Govern, les agences de renseignement sont sous influence et capables d’à peu près tout. D’ores et déjà l’ampleur des anomalies semble égaler celles qui existaient autour de l’assassinat du président Kennedy. Une chose est sûre, à savoir qu’après le débat désastreux où Biden a affiché les symptômes de sa démence sénile, Trump avait un boulevard vers la présidence que rien ne semblait pouvoir entraver, hormis un décès.
Le peuple américain ne peut compter sur l’aide de personne pour tirer au clair les causes de cette quasi catastrophe.