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Commentaire de Legestr glaz

sur Législatives 2024 (26) : les larmes de Marine Tondelier


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Legestr glaz Legestr glaz 20 juillet 2024 12:25

@Géronimo howakhan

Merci Géronimo

Les thrombo-embolies « post vaccination » covid19, il y a pas mal de recherches sur le sujet. Tout ceci est un peu chaotique parce que personne ne pourra avoir définitivement la preuve de rien.
Par ailleurs, la « doxa » dominante, même si elle n’écarte pas les effets secondaires des vaccins, avec l’apparition de ces thrombo-embolies, évoque le rapport « bénéfice / risque » indiquant que les avantages sont bien supérieurs aux risque. 
Ici il ne s’agit plus de « science », cherchant à trouver un lien « causal » entre une chose et une autre, parce que de multiples facteurs peuvent entrer en considération. Ainsi, ce sont bien les personnes « sensibles », comme les personnes âgées, qui se sont faites vacciner majoritairement. Et ce sont bien ces mêmes personnes qui présentent la plus grande sensibilité face aux épisodes de pollution augmentée. N’oublions jamais que des preuves innombrables existent entre santé cardio-vasculaire et pollution, entre « thrombose » et pollution entre « caillotage » et pollution. 

Ainsi, par exemple, si une personne vaccinée se trouve confrontée à un épisode de pollution augmentée, elle pourra développer une thrombo-embolie que personne ne pourra attribuer à la pollution ou aux effets indésirables du vaccin. Ceci est impossible à trancher.

... La pollution de l’air constitue un problème majeur de santé globale. Les polluants de l’air les plus communs sont le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde d’azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2), l’ozone (O3) et les particules “grossières” (PM10≤ 10 µm) ou fines (PM2.5≤ 2.5 µm).
... La pollution atmosphérique est composée de particules (PM) et de polluants gazeux, tels que le dioxyde d’azote et l’ozone. Les PM sont classées selon leur taille en particules grossières (PM 10 ), particules fines (PM 2,5 ) et particules ultrafines. Notre objectif est de fournir une revue originale des preuves scientifiques issues d’études épidémiologiques et expérimentales examinant les effets cardiovasculaires de la pollution de l’air extérieur. Des études épidémiologiques regroupées ont indiqué qu’une augmentation de 10 μg/m 3 de l’exposition à long terme aux PM 2,5était associée à une augmentation de 11 % de la mortalité cardiovasculaire. L’augmentation de la mortalité cardiovasculaire était également liée à l’exposition à long terme et à court terme au dioxyde d’azote. L’exposition à la pollution de l’air et au trafic routier était associée à un risque accru d’artériosclérose, comme le montrent les calcifications aortiques et coronariennes prématurées. Les augmentations à court terme de la pollution atmosphérique étaient associées à un risque accru d’infarctus du myocarde, d’accident vasculaire cérébral et d’insuffisance cardiaque aiguë. Le risque était accru même lorsque les concentrations de polluants étaient inférieures aux normes européennes.« ...

Parce que la pollution atmosphérique est »multiple", il est très difficile de dire, en fonction des polluants en présence, de leur mélange, de leur imbrication, quel type de maladie va s’exprimer prioritairement. Ce qui est certain, c’est qu’en présence d’une inversion thermique en automne-hiver, tous les polluants se retrouvent concentrés sur un faible espace et l’on connait alors des pics de mortalités. C’est inéluctable. Sachant, par ailleurs, que les polluants atmosphériques agissent à court terme mais aussi à long terme, par des effets cumulatifs, on comprend alors que les personnes âgées sont bien celles qui auront l’effet cumul le plus fort.


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