Je suis étonné (et le mot est faible) qu’une trans veuille être un trans et non une femme. 
Ya quelque chose qui cloche.
J’ai rencontré une fois dans ma vie une trans que je connaissais pour telle étant amie d’ami, ellen ’était pas « trans », elle était femme, point à la ligne et elle effaçait ce qu’elle avait été avant.
Mais sans doute est-ce trop simple pour cette invention américaine qu’on appelle LGBTQI... doublée du wokisme où on n’est intéressant que parce qu’on est compliqué sinon on est banal et tout sauf ça !
Toute trouvaille yanki est à prendre avec des pincettes.
De même qu’il n’existe pas de rapport entre des homos et des trans, le terme queer est devenu tellement compliqué à saisir qu’on ne sait pas ce que c’est : est-ce que c’est cisgenre ou pas, mystère. Ce terme désignait en bon anglais un homme (et non une femme) dont les manières pouvaient laisser à penser que...
Tout cela relève de la société du spectacle et de la nombrilite aigüe. Ce sont les pbms sociologiques et psychologiques de ceux qui veulent exister à tout prix, les Incroyables et les Merveilleuses de notre temps.