@Iris

Je me réfère, effectivement, à des scientifiques qui vont à contre-courant de la doxa dominante. Il se trouve que ce qu’ils décrivent correspond à la réalité observable, celle à laquelle j’adhère.

Nous ne transmettons aucune maladie à nos proches tout est une affaire de compétence de notre système immunitaire. Ce qui se passe c’est que nous « baignons » tous, « en même temps », dans un même environnement. Et si celui ci est pollué, si la pollution est augmentée pour des raisons variées, les personnes au système immunitaire défaillant paient les pots cassés. 
Le scorbut a pendant des siècles été considéré comme une maladie « transmissible ». Les gens étaient mis à l’isolement et les navires en quarantaine. On peut évaluer le côté absolument ridicule de ces mesures après la découverte de la vitamine C. 

Libre à vous de croire à la « version officielle » mais, objectivement, elle ne tient pas l’analyse devant la réalité observable et la réalité biologique.

La contagion et la contamination n’ont jamais été démontrées par exemple. Il faut donc « réfléchir » autrement.

Exemple pour la maladie appelée « covid19 » en lien avec un « virus » appelé SARS-COV-2.

La maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) et les pandémies précédentes ont été considérées presque exclusivement comme des problèmes virologiques, les problèmes toxicologiques étant pour la plupart ignorés.
Cette perspective n’est pas étayée par l’évolution du COVID-19, où l’impact des expositions réelles à de multiples facteurs de stress toxiques dégradant le système immunitaire est suivi par le virus SARS-CoV-2 exploitant le système immunitaire dégradé pour déclencher une chaîne d’événements. menant finalement au COVID-19.

les mesures proactives à long terme fondées sur la toxicologie, nécessaires pour renforcer intrinsèquement le système immunitaire et prévenir de telles épidémies futures, n’ont pas été prises en compte.

Cet article tente de clarifier ces idées fausses et de proposer des approches stratégiques visant à renforcer intrinsèquement le système immunitaire.

Si une telle stratégie avait été suivie de manière cohérente dans le passé, elle aurait pu prévenir/minimiser l’incidence et les conséquences du COVID-19. Pourtant, cette stratégie est essentielle pour prévenir/minimiser les effets néfastes des inévitables futures pandémies.

La pandémie actuelle de COVID-19, la pandémie de SRAS de 2002-2003 et les pandémies annuelles de grippe partagent de forts points communs.

Une petite fraction de ceux qui sont exposés aux virus respectifs deviennent symptomatiques ; puis, une petite fraction de ceux qui présentent des symptômes succombent. La plupart de ces décès dus à des maladies infectieuses résultent d’une pneumonie et d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).

La grande majorité des décès surviennent chez les personnes âgées présentant des comorbidités importantes et un système immunitaire dégradé/dysfonctionnel

Bien qu’il y ait un certain déclin du système immunitaire avec l’âge, la comorbidité est un prédicteur plus fiable d’une immunité affaiblie que l’âge chronologique chez les personnes âgées.

Les causes sous-jacentes de la pandémie actuelle ont été à la fois déformées et camouflées.

Les causes principalement toxicologiques ont été ignorées par rapport aux causes virologiques. Cela a abouti à des traitements et à des mesures de « protection » qui abordent les problèmes de virologie à l’exclusion des problèmes de toxicologie, sont d’une efficacité discutable et ne font pas grand-chose (voire rien) pour prévenir de futures pandémies.

Ils ont eu des effets désastreux sur l’économie mondiale, qui ont aggravé les conditions sociales et économiques de nombreuses personnes et contribué à la détérioration de leur santé physique et mentale. Pour corriger cette situation et offrir une protection intrinsèque contre de futures pandémies, des réponses tactiques/réactives pour survivre à la menace immédiate et des réponses stratégiques/proactives pour empêcher que le problème et les dommages ne se reproduisent sont nécessaires.