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Commentaire de Legestr glaz

sur Le langage des cellules


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Legestr glaz Legestr glaz 14 août 2024 17:57

@Iris
Il n’existe strictement aucune preuve de contagion ou de contamination. Il existe, en revanche, des « espaces » dans lequel« le même environnement peut produire les mêmes effets chez des personnes au système immunitaire défaillant ou affaibli.

Le covid19 a été une excellente démonstration de cette »non contagion« et »non contamination« . Par le passé déjà, lors de la grande grippe espagnole, en 1918-1919, des chercheurs ne sont jamais parvenus à rendre malade de cette très méchante grippe espagnole des personnes saines mises en contact étroit de malades, certains en stade terminal. Cette »expérience« du nom de son initiateur, Milton Rosenau, est absolument consultable.

Par ailleurs notre »rationalité« devrait interroger les faits. La »version officielle« du covid19 nous raconte l’histoire d’un »virus« venu de Chine, de la ville de Wuhan, par des »voyageurs", lesquels ont contaminés les habitants de la vieille Europe. Il se trouve que jamais, depuis que l’on examine les grippes, que celles ci n’ont jamais franchi l’hémisphère. Jamais un malade de la grippe dans l’hémisphère Sud n’est venu contaminer une personne de l’hémisphère Nord, et inversement. Cela n’existe simplement pas. La grippe se développe en automne-hiver dans l’hémisphère sud mais également en automne-hiver dans l’hémisphère nord, mais avec un décalage de 6 mois. En revanche Wuhan se situe dans le même hémisphère que Paris ou Milan. 

En janvier 2023, paraissait aux éditions « l’Artilleur  », le livre de Pierre Chaillot « Covid19 – ce que révèlent les chiffres officiels – Mortalité – tests – vaccins – hôpitaux – la vérité émerge » (15) . Le chapitre 5 de cet ouvrage s’intéresse à la propagation virale : « Y a-t-il eu une propagation épidémique ? » (pages 157 à 211). Pierre Chaillot est un statisticien qui a utilisé les chiffres officiels pour construire ses graphiques et son opinion. Il se trouve que les chiffres de la mortalité attribuée aux maladies virales hivernales ne montrent l’existence d’aucune propagation des virus hivernaux au cours des années de référence utilisées. Les épidémies de maladies respiratoires hivernales apparaissent « partout en même temps » du Portugal à la Suède en passant par la France. Ceci disqualifie totalement la « théorie de la propagation virale ».


Lors de l’épidémie covid19 en France, les chiffres ont montré que certaines régions françaises présentaient une moindre mortalité que d’autres. La Bretagne, et toute la façade atlantique française en général, avait à déplorer un nombre de morts bien moins important que la région parisienne ou que les régions de l’Est, par exemple. La mortalité a été 4 fois supérieure en Ile de France qu’en Bretagne.


Devant cette « réalité », certains ont avancé quelques hypothèses. Les Bretons étaient-ils plus résistants aux virus ? Les Bretons avaient-ils une meilleure santé que les habitants d’autres régions ? Compte tenu des mesures de confinement prises, le virus a t-il été empêché de se propager ? La Bretagne ne serait pas un lieu de passage ? Bref, des supputations multiples pour tenter d’expliquer ce que l’on ne parvenait pas à comprendre. Je parle ici de « mortalité » et non « de cas positifs ». En effet, lors de cette période covid19, nous sommes entrés dans une dimension nouvelle : l’on pouvait être malade sans le savoir, sans présenter aucun symptôme, aucun dysfonctionnement, même léger, sans aucun désagrément. C’est un « test positif  » qui validait l’idée que nous étions malades. Le « docteur Knock » n’était pas loin : « tout bien portant est un malade qui s’ignore  ». Il est impératif de comparer ce qui est comparable. Comparer une mortalité avec une autre est une chose simple à comprendre. En revanche, comparer un nombre de « cas positifs  » avec un autre nombre de «  cas positifs » pose la question « centrale  » de savoir combien de personnes ont été testées. En effet, lors de la maladie covid19, plus le nombre de personnes qui étaient testées était important et plus le nombre de cas positifs s’élevait. Comme l’a souligné Pierre Chaillot : « nous avons assisté à une épidémie de tests ».


Finalement, la solution à cette « énigme » d’une moindre mortalité en Bretagne, et sur la façade atlantique, est venue de la consultation des conditions météorologiques régnant dans ces régions. Il se trouve que la pollution y est moins importante, généralement. Une étude scientifique, du mois de juillet 2022, est venue confirmer le rôle exceptionnel que joue la pollution atmosphérique dans l’émergence des maladies respiratoires hivernales (16). « Relation entre la pollution PM2,5 et la mortalité liée au Covid-19 en Europe de l’Ouest pour la période 2020-2022 ».

La conclusion des auteurs est celle-ci  :

... « Cette étude a confirmé que la pollution PM2.5 est d’une importance majeure pour la santé humaine. Bien que l’effet direct de la pollution sur la santé soit bien établi, il montre que les PM2,5 ont également un fort effet indirect sur la mortalité du Covid-19 via l’inhalation et des facteurs irritants. »...




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