@Eric F

... La pandémie de COVID-19, la pandémie de SRAS de 2002-2003 et les pandémies annuelles de grippe partagent de forts points communs.

Une petite fraction de ceux qui sont exposés aux virus respectifs deviennent symptomatiques ; puis, une petite fraction de ceux qui présentent des symptômes succombent. La plupart de ces décès dus à des maladies infectieuses résultent d’une pneumonie et d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).

... La grande majorité des décès surviennent chez les personnes âgées présentant des comorbidités importantes et un système immunitaire dégradé/dysfonctionnel.

... Bien qu’il y ait un certain déclin du système immunitaire avec l’âge, la comorbidité est un prédicteur plus fiable d’une immunité affaiblie que l’âge chronologique chez les personnes âgées.

... « Il existe de fortes idées fausses sur le rôle joué par le SRAS-CoV-2 dans l’émergence du COVID-19, en particulier sur la gravité du COVID-19 dans certains groupes démographiques.

... Ces idées fausses aboutissent à des traitements axés sur la virologie sans aucune considération de toxicologie : contenir/atténuer l’exposition/la charge virale du SRAS-CoV-2 plutôt que renforcer intrinsèquement le système immunitaire.

... Ces actions basées sur la virologie ne résolvent pas les problèmes toxicologiques sous-jacents qui doivent être résolus correctement afin de réduire la vulnérabilité humaine aux maladies infectieuses, y compris la COVID-19.

... Les mesures proactives à long terme fondées sur la toxicologie, nécessaires pour renforcer intrinsèquement le système immunitaire et prévenir de telles épidémies futures, n’ont pas été prises en compte.

Les »virus" sont l’arbre qui cache la forêt et qui exonèrent de leur responsabilité évidente tout un secteur de l’économie mondiale. C’est drôlement pratique ! Sans compter les mesures privatives de liberté qui peuvent être décrétées pour faire face à ces épidémies de maladies respiratoires. C’est aussi très pratique.