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Commentaire de Legestr glaz

sur Le langage des cellules


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Legestr glaz Legestr glaz 15 août 2024 14:42

@Francis, agnotologue

Effectivement Francis, je ne comprends pas où des gens comme Eric F rangent leur « rationalité ».

Parce que la « théorie officielle », concernant la vaccination, consiste à inoculer une forme atténuée d’un virus dans l’organisme afin que ce dernier puisse « anticiper » une attaque future de ce virus. C’est ça la théorie vaccinale : préparer l’organisme à l’attaque du virus « entier ». Mais, il trouvera à qui parler ce méchant virus puisque l’organisme aura été préparé !

Mais une autre « théorie officielle » dit que les « virus » ont un caractère « changeant ». Ils mutent toujours et il est alors questions des « mutants » et des « variants ». C’est ainsi que, chaque année, vraiment chaque année, les gens se font vacciner contre le méchant virus qui va être actif dans les mois à venir. La « vaccination » prépare l’organisme à cette arrivée imminente.

Ce genre de « théorie » pose quand même problème pour un esprit rationnel. Parce qu’en réalité, ce « virus » objet d’une campagne de vaccination toute fraiche, fera sont entrée triomphante dans l’organisme par les voies respiratoires (s’il s’agit de la grippe ou d’un coronavirus). Il se trouve que l’immunité de première ligne, dans les voies respiratoires, même sans avoir eu connaissance du « profil » de ce « nouveau virus », fera son boulot : elle empêchera cet agent pathogène de pénétrer l’organisme en mettant en oeuvre des tas de mécanismes parfaitement au point. Ainsi, l’immunité innée de « première ligne » n’a nul besoin d’être informée au « préalable » de l’arrivée potentielle du « nouveau virus » : elle le rejette comme un malpropre parce qu’il fait partie du « non soi ».

Le deuxième questionnement concerne les variants et les mutants. Si l’on est vacciné à partir de la mi-octobre, à partir de « quelle souche d’ailleurs » (généralement celle ayant été découverte dans l’hémisphère Sud, vous savez celle qui ne peut jamais franchir les hémisphères, curieux quand même), et que l’épidémie se déclare en février, peut-on penser que le « nouveau virus » n’aura pas déjà « muté » ? La vaccination devient alors inutile puisque l’organisme ne sera pas prêt à lutter contre ce « nouveau variant ». Un coup d’épée dans l’eau !

La troisième observation concerne le « profil » des personnes qui tombent gravement malades et qui meurent des infections respiratoires en automne-hiver. Ce sont toujours les mêmes, celles qui présentent des « comorbidités » et très très généralement, celles qui ont couru se faire « vacciner ». Si la « vaccination » protégeait des maladies respiratoires en automne-hiver cela se verrait dans les chiffres de la mortalité. Or, les personnes âgées « fragilisées », celles au système immunitaire amoindri, décèdent régulièrement, malgré les vaccinations. Les chiffres de la mortalité hivernale nous le prouve hiver, après hiver, sans jamais de variation. 

Je me demande si Eric F fait jouer sa rationalité pour évaluer ce genre de choses ?


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